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GFK , société européenne d'études marketing, publie les résultats de son enquête sur le marché des téléphones mobiles en France pour le 1er trimestre 2002.
GfK, société européenne d'études marketing, publie les résultats de son analyse du marché français des téléphones mobiles de janvier à mars 2002.
Pour réaliser cette enquête le groupe s'est appuyé sur son analyse des ventes hebdomadaires de la grande distribution, soit 830 points de vente environ.
Sur le marché français, GFK constate une baisse de 8% des ventes de téléphones portables du 1er janvier au 31 mars 2002 par rapport aux ventes réalisées lors du premier trimestre 2001.
Cette tendance à la baisse se confirme, puisque les ventes avaient déjà baissé de 7% entre le premier trimestre 2000 et le premier trimestre 2001.
L'institut GfK estime que l'arrivée à maturité du marché, 6 français sur 10 sont équipés d'un téléphone mobile, ainsi que l'augmentation des tarifs constituent deux éléments fondamentaux pour expliquer ce recul.
Il y a plus d'un an les opérations de déstockage ont entraîné une baisse des prix des mobiles pour les consommateurs. Alors qu'au début de l'année 2002 le niveau des stocks a chuté. Cette chute se traduit par «un coût d'acquisition plus élevé des terminaux dans la distribution donc par une augmentation des tarifs pour le consommateur final.»
Enfin, l'institut estime que le marché français du téléphone mobile devrait pour la première fois baisser de 4% sur un an (2001/2002), soit 13 millions d'unités vendues (renouvellement ou multi-équipement).
"L'arrivée du GPRS ne devrait pas changer la donne en 2002. Les terminaux GPRS devraient réaliser en effet moins de 30% des ventes de téléphones mobiles cette année", observe Marc CHEMOUIL, analyste marketing télécoms chez GfK.
Il conclut : "Les opérateurs tardent à mettre en avant cette nouvelle génération et restent prudents suite à l'échec du WAP. Ils pensent avant tout à fidéliser leur clientèle et construisent leur offre de contenu pour la sensibiliser peu à peu aux mobiles de 3ème génération et aux services à valeur ajoutée."
GfK, société européenne d'études marketing, publie les résultats de son analyse du marché français des téléphones mobiles de janvier à mars 2002.
Pour réaliser cette enquête le groupe s'est appuyé sur son analyse des ventes hebdomadaires de la grande distribution, soit 830 points de vente environ.
Sur le marché français, GFK constate une baisse de 8% des ventes de téléphones portables du 1er janvier au 31 mars 2002 par rapport aux ventes réalisées lors du premier trimestre 2001.
Cette tendance à la baisse se confirme, puisque les ventes avaient déjà baissé de 7% entre le premier trimestre 2000 et le premier trimestre 2001.
L'institut GfK estime que l'arrivée à maturité du marché, 6 français sur 10 sont équipés d'un téléphone mobile, ainsi que l'augmentation des tarifs constituent deux éléments fondamentaux pour expliquer ce recul.
Il y a plus d'un an les opérations de déstockage ont entraîné une baisse des prix des mobiles pour les consommateurs. Alors qu'au début de l'année 2002 le niveau des stocks a chuté. Cette chute se traduit par «un coût d'acquisition plus élevé des terminaux dans la distribution donc par une augmentation des tarifs pour le consommateur final.»
Enfin, l'institut estime que le marché français du téléphone mobile devrait pour la première fois baisser de 4% sur un an (2001/2002), soit 13 millions d'unités vendues (renouvellement ou multi-équipement).
"L'arrivée du GPRS ne devrait pas changer la donne en 2002. Les terminaux GPRS devraient réaliser en effet moins de 30% des ventes de téléphones mobiles cette année", observe Marc CHEMOUIL, analyste marketing télécoms chez GfK.
Il conclut : "Les opérateurs tardent à mettre en avant cette nouvelle génération et restent prudents suite à l'échec du WAP. Ils pensent avant tout à fidéliser leur clientèle et construisent leur offre de contenu pour la sensibiliser peu à peu aux mobiles de 3ème génération et aux services à valeur ajoutée."
