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L'opérateur Telecom Italia Mobile se désengage de Bouygues Telecom en revendant ses titres au groupe Bouygues
Le géant du BTP consomme son divorce avec Telecom Italia. Partenaire historique du groupe Bouygues dans la création de Bouygues Telecom, le groupe Italien annonce la revente de ses titres dans BDT, la holding de contrôle du 3e opérateur mobile français.
A l'issue de l'opération, le groupe Bouygues devrait donc récupérer 19.6% des titres de TIM dans BDT pour 750 millions d'euros, portant sa participation à près de 64.5% dans l'hypothèse où le groupe Decaux, autre actionnaire de BDT ne fasse pas valoir ses droits de préemption.
Très attaché à la poursuite de l'oeuvre de son père, Martin Bouygues mène depuis plusieurs années une bataille financière afin de garder le contrôle du 3e opérateur mobile français, pour le moment encore indépendant. Malgré les raids boursiers de vincent , François Pinaut et Bernard Arnault, malgré l'appétît affiché de géants mondiaux de la téléphonie mobile comme Deutsche Telekom ou encore DocoMo, Bouygues Telecom reste donc, plus que jamais, contrôlé par le géant français du BTP, diversifié dans la communication avec ou encore TPS.
Bien accueillie par les marchés financiers, avec un cours en hausse de 4.8% en clôture sur EuroNext, cette opération devrait donc redonner de la visibilité à Bouygues Telecom, et lui permettre de redefinir une politique d'expansion en matière d'internet mobile, avec un dossier de candidature très attendu pour la 3e licence UMTS.
Le géant du BTP consomme son divorce avec Telecom Italia. Partenaire historique du groupe Bouygues dans la création de Bouygues Telecom, le groupe Italien annonce la revente de ses titres dans BDT, la holding de contrôle du 3e opérateur mobile français.
A l'issue de l'opération, le groupe Bouygues devrait donc récupérer 19.6% des titres de TIM dans BDT pour 750 millions d'euros, portant sa participation à près de 64.5% dans l'hypothèse où le groupe Decaux, autre actionnaire de BDT ne fasse pas valoir ses droits de préemption.
Très attaché à la poursuite de l'oeuvre de son père, Martin Bouygues mène depuis plusieurs années une bataille financière afin de garder le contrôle du 3e opérateur mobile français, pour le moment encore indépendant. Malgré les raids boursiers de vincent , François Pinaut et Bernard Arnault, malgré l'appétît affiché de géants mondiaux de la téléphonie mobile comme Deutsche Telekom ou encore DocoMo, Bouygues Telecom reste donc, plus que jamais, contrôlé par le géant français du BTP, diversifié dans la communication avec ou encore TPS.
Bien accueillie par les marchés financiers, avec un cours en hausse de 4.8% en clôture sur EuroNext, cette opération devrait donc redonner de la visibilité à Bouygues Telecom, et lui permettre de redefinir une politique d'expansion en matière d'internet mobile, avec un dossier de candidature très attendu pour la 3e licence UMTS.
