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Grâce à son partenariat publicitaire avec Google, la fondation Mozilla, éditrice de Firefox, devrait générer plus de cinquante millions de dollars de revenus ..
Le panda n'est pas si rouge que cela. Née sur les cendres de Netscape avec des moyens financiers limités, la fondation Mozilla semble désormais dépassée par le succès commercial de Firefox, un logiciel libre, conçu et amélioré grâce à des milliers d'internautes bénévoles, mais dont les partenariats publicitaires avec Google, ou Amazon devraient générer plus de cinquante millions de dollars de chiffre d'affaires cette année.
Le chiffre exact reste confidentiel. En février 2006, Mitch Kapor, président de Mozilla évaluait les revenus de la fondation à près de 50 millions de dollars par an. De son côté, Christophe Beard, Vice President de Mozilla, reconnaissait jeudi soir au lancement de Firefox 2 que le navigateur générait des "dizaines de millions de dollars" de revenus, essentiellement grâce à Google, et que cette somme couvrait désormais largement les salaires de ses 70 employés permanents.
"Mozilla reste une association à but non lucratif qui garde le pouvoir de dire non à des sollicitations commerciales. Nous avons décidé de travailler avec Google car c'est avant tout un excellent outil de recherche. Quand Google s'est aperçu que Firefox leur renvoyait beaucoup d'audience, ils nous ont proposé de partager les revenus des liens sponsorisés. Pour des questions de confidentialité, nos partenaires nous demandent toutefois de ne pas communiquer ces chiffres " précise Tristan Nitot, directeur de Mozilla Europe.
Association à but non lucratif contrôlant à 100% une filiale à dimension commerciale (Mozilla Corp), la fondation Mozilla semble en tout cas mal à l'aise avec les millions de dollars générés par Firefox, préférant largement mettre en avant sa dimension communautaire et le caractère opensource de Firefox. Mozilla travaillerait d'ailleurs sur des programmes de bourses scolaires, d'achat de matériel informatique, de paiement de forfaits ADSL ou de voyages en Californie pour récompenser ses développeurs les plus efficaces et ainsi préserver la philosophie de ce panda "rouge" ... la traduction exacte de "Firefox".
Le panda n'est pas si rouge que cela. Née sur les cendres de Netscape avec des moyens financiers limités, la fondation Mozilla semble désormais dépassée par le succès commercial de Firefox, un logiciel libre, conçu et amélioré grâce à des milliers d'internautes bénévoles, mais dont les partenariats publicitaires avec Google, ou Amazon devraient générer plus de cinquante millions de dollars de chiffre d'affaires cette année.
Le chiffre exact reste confidentiel. En février 2006, Mitch Kapor, président de Mozilla évaluait les revenus de la fondation à près de 50 millions de dollars par an. De son côté, Christophe Beard, Vice President de Mozilla, reconnaissait jeudi soir au lancement de Firefox 2 que le navigateur générait des "dizaines de millions de dollars" de revenus, essentiellement grâce à Google, et que cette somme couvrait désormais largement les salaires de ses 70 employés permanents.
"Mozilla reste une association à but non lucratif qui garde le pouvoir de dire non à des sollicitations commerciales. Nous avons décidé de travailler avec Google car c'est avant tout un excellent outil de recherche. Quand Google s'est aperçu que Firefox leur renvoyait beaucoup d'audience, ils nous ont proposé de partager les revenus des liens sponsorisés. Pour des questions de confidentialité, nos partenaires nous demandent toutefois de ne pas communiquer ces chiffres " précise Tristan Nitot, directeur de Mozilla Europe.
Association à but non lucratif contrôlant à 100% une filiale à dimension commerciale (Mozilla Corp), la fondation Mozilla semble en tout cas mal à l'aise avec les millions de dollars générés par Firefox, préférant largement mettre en avant sa dimension communautaire et le caractère opensource de Firefox. Mozilla travaillerait d'ailleurs sur des programmes de bourses scolaires, d'achat de matériel informatique, de paiement de forfaits ADSL ou de voyages en Californie pour récompenser ses développeurs les plus efficaces et ainsi préserver la philosophie de ce panda "rouge" ... la traduction exacte de "Firefox".
