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Le Conseil supérieur de l'audiovisuel déplore la diffusion d'un spot qui "met autant en valeur" contrôle parental et contenus érotiques proposés par l'opérateur
La campagne publicitaire de SFR sur le contrôle parental froisse le CSA.
Le spot incriminé "met autant en valeur l'existence d'un contrôle parental que la diffusion de programmes pour adultes par SFR", a indiqué le Conseil supérieur de l'audiovisuel lors de son assemblée plénière du 25 juillet dernier.
Dans sa décision rendue publique le 19 septembre 2006, le CSA déclare regretter "la diffusion aux heures de grande écoute, d'une scène se référant ostensiblement à l'univers des programmes pour adultes. tend à banaliser leur accessibilité aux mineurs et paraît de nature à leur nuire."
Le Bureau de vérification de la publicité (BVP) et les réseaux télévisés ont été avertis par le Conseil supérieur de l'audiovisuel.
Le CSA demande aux chaînes "d'éviter toute diffusion avant 22h30 de messages publicitaires mettant en scène des images habituellement réservées aux vidéogrammes de catégorie IV ou V" (interdits au moins de 16 et de 18 ans).
Au final, SFR peut toujours promouvoir, dans un même spot, contrôle parental et contenus érotiques proposés à ses abonnés mobiles.
La campagne publicitaire de SFR sur le contrôle parental froisse le CSA.
Le spot incriminé "met autant en valeur l'existence d'un contrôle parental que la diffusion de programmes pour adultes par SFR", a indiqué le Conseil supérieur de l'audiovisuel lors de son assemblée plénière du 25 juillet dernier.
Dans sa décision rendue publique le 19 septembre 2006, le CSA déclare regretter "la diffusion aux heures de grande écoute, d'une scène se référant ostensiblement à l'univers des programmes pour adultes. tend à banaliser leur accessibilité aux mineurs et paraît de nature à leur nuire."
Le Bureau de vérification de la publicité (BVP) et les réseaux télévisés ont été avertis par le Conseil supérieur de l'audiovisuel.
Le CSA demande aux chaînes "d'éviter toute diffusion avant 22h30 de messages publicitaires mettant en scène des images habituellement réservées aux vidéogrammes de catégorie IV ou V" (interdits au moins de 16 et de 18 ans).
Au final, SFR peut toujours promouvoir, dans un même spot, contrôle parental et contenus érotiques proposés à ses abonnés mobiles.
