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Tandis que impose sa marque Orange dans le fixe, son homologue transalpin Telecom Italia renonce à devenir un opérateur "intégré"
Destruction de valeur ? Tandis que France Telecom impose sa marque Orange dans l'internet fixe et que les groupes SFR et Neuf Telecom sont en plein rapprochement, l'ex opérateur historique transalpin Telecom Italia a annoncé qu'il renonçait à devenir un opérateur "intégré".
Après s'être endetté à hauteur de 41.3 milliards d'euros notamment pour racheter une partie des actions de sa filiale de téléphonie mobile, le groupe italien ferait désormais machine arrière en filialisant à nouveau TIM (Telecom Italia Mobile), premier opérateur cellulaire italien devant Vodafone, Wind ou encore "3" (Hutchinson Telecom).
Bien que le groupe s'en défende, beaucoup d'analystes anticipent désormais la cession de TIM à un groupe d'investisseurs ou à des grands opérateurs européens comme France Télécom, ou Deutsche Telekom, absents du marché italien. Selon la presse transalpine, la cession de TIM rapporterait 35 milliards d'euros à Telecom Italia, qui pourrait ainsi renforcer sa présence dans les télécoms fixes européennes sous sa marque Alice.
La stratégie d'intégration divise en tout cas les opérateurs. En Grande-Bretagne, l'opérateur historique BT Group a cédé sa filiale de téléphonie mobile O² au groupe Telefonica pour finalement s'allier avec Vodafone, champion du mobile, dans l'internet fixe ! En France, Orange est désormais présent dans l'internet fixe et mobile, les groupes SFR et Neuf Telecom sont en cours de rapprochement et on prête également à Bouygues Telecom, troisième opérateur GSM de l'hexagone, l'intention de lancer une offre d'accès DSL.
Destruction de valeur ? Tandis que France Telecom impose sa marque Orange dans l'internet fixe et que les groupes SFR et Neuf Telecom sont en plein rapprochement, l'ex opérateur historique transalpin Telecom Italia a annoncé qu'il renonçait à devenir un opérateur "intégré".
Après s'être endetté à hauteur de 41.3 milliards d'euros notamment pour racheter une partie des actions de sa filiale de téléphonie mobile, le groupe italien ferait désormais machine arrière en filialisant à nouveau TIM (Telecom Italia Mobile), premier opérateur cellulaire italien devant Vodafone, Wind ou encore "3" (Hutchinson Telecom).
Bien que le groupe s'en défende, beaucoup d'analystes anticipent désormais la cession de TIM à un groupe d'investisseurs ou à des grands opérateurs européens comme France Télécom, ou Deutsche Telekom, absents du marché italien. Selon la presse transalpine, la cession de TIM rapporterait 35 milliards d'euros à Telecom Italia, qui pourrait ainsi renforcer sa présence dans les télécoms fixes européennes sous sa marque Alice.
La stratégie d'intégration divise en tout cas les opérateurs. En Grande-Bretagne, l'opérateur historique BT Group a cédé sa filiale de téléphonie mobile O² au groupe Telefonica pour finalement s'allier avec Vodafone, champion du mobile, dans l'internet fixe ! En France, Orange est désormais présent dans l'internet fixe et mobile, les groupes SFR et Neuf Telecom sont en cours de rapprochement et on prête également à Bouygues Telecom, troisième opérateur GSM de l'hexagone, l'intention de lancer une offre d'accès DSL.
