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Après M6, c'est au tour de la FFT de choisir la technologie P2P sécurisée de 1-Click Media pour proposer les contenus de Roland Garros sous forme de V.O.D.
La vidéo à la demande est décidemment très populaire en ce début d'année 2006. Après M6, c'est au tour de la fédération française de Tennis (FFT) de choisir la technologie peer-to-peer légale et sécurisée de la société française 1-Click Media pour proposer les contenus de Roland Garros sous forme de vidéo à la demande.
Hébergé par la société Ipercast et exploitant les technologies Windows Media de Microsoft, le système de 1-Click Media contrôle l'alimentation du réseau en contenu mais s'appuie sur les ordinateurs des utilisateurs pour héberger et diffuser les fichiers vidéos, réduisant les coûts en bande passante pour l'émetteur des fichiers.
"Quand on regarde dans quel contexte le mot "peer-to-peer" est utilisé, on s'aperçoit qu'il est trop souvent associé a la piraterie; les gens n'ont pas encore assimilé que le peer-to-peer est simplement un moyen de diffusion, extraordinaire pour la diffusion massive de données." explique Arthur Madrid, directeur général de 1-Click Media.
Alors que Ségolène Royal a relancé les débats sur le projet de loi DADVSI, cette initiative devrait démontrer que la technologie Peer-to-peer peut parfois être utilisée dans un cadre parfaitement légal, en association avec des moyens techniques de protection (DRM).
La vidéo à la demande est décidemment très populaire en ce début d'année 2006. Après M6, c'est au tour de la fédération française de Tennis (FFT) de choisir la technologie peer-to-peer légale et sécurisée de la société française 1-Click Media pour proposer les contenus de Roland Garros sous forme de vidéo à la demande.
Hébergé par la société Ipercast et exploitant les technologies Windows Media de Microsoft, le système de 1-Click Media contrôle l'alimentation du réseau en contenu mais s'appuie sur les ordinateurs des utilisateurs pour héberger et diffuser les fichiers vidéos, réduisant les coûts en bande passante pour l'émetteur des fichiers.
"Quand on regarde dans quel contexte le mot "peer-to-peer" est utilisé, on s'aperçoit qu'il est trop souvent associé a la piraterie; les gens n'ont pas encore assimilé que le peer-to-peer est simplement un moyen de diffusion, extraordinaire pour la diffusion massive de données." explique Arthur Madrid, directeur général de 1-Click Media.
Alors que Ségolène Royal a relancé les débats sur le projet de loi DADVSI, cette initiative devrait démontrer que la technologie Peer-to-peer peut parfois être utilisée dans un cadre parfaitement légal, en association avec des moyens techniques de protection (DRM).
