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Au quatrième trimestre 2005, le marché français des communications électroniques a généré 10,4 milliards d'euros de revenus, a indiqué l'Arcep vendredi.
Le marché français des e-communications a généré 10,4 milliards d'euros de revenus, dont 8 milliards pour la téléphonie et Internet au quatrième trimestre 2005.
Ce chiffre a progressé de 4,9% par rapport au quatrième trimestre 2004.
Le nombre de lignes fixes, 36,4 millions, est en croissance continue (+4,2% sur un an), a indiqué le régulateur vendredi dans son Observatoire des marchés.
En outre, la baisse du nombre d'abonnements à la téléphonie fixe (RTC), -2,8% sur un an, "est largement compensée" par la croissance rapide des abonnements à un service de téléphonie sur IP : 3,3 millions fin décembre 2005.
Le développement des services utilisant le protocole Internet, téléphonie et télévision par ADSL, témoigne du succès du dégroupage. Celui-ci permet aux opérateurs alternatifs d'utiliser le réseau local de France Télécom, en échange d'une rémunération, pour desservir directement leurs abonnés.
Le nombre de lignes dégroupées a presque doublé en un an pour atteindre 2,8 millions fin 2005, dont 592.000 totalement. Avec le dégroupage total, l'abonné s'affranchit de France Télécom pour disposer d'un seul opérateur IP.
Quant au nombre total d'abonnements Internet, il était de 13,3 millions fin 2005, dont 9,5 millions haut débit (8,9 millions par ADSL).
Le secteur a généré 878 millions d'euros de revenus, dont 674 millions d'euros pour les accès haut débit.
Du côté de la téléphonie mobile, c'est l'euphorie : La France totalise plus de 48 millions de clients mobiles (+8% sur un an). Par ailleurs, 3,4 milliards de SMS ont été envoyés (+11,9%) et les services multimédia mobiles (Wap, MMS, e-mail, etc.) ont été utilisés par plus de 14 millions de clients au quatrième trimestre 2005.
Enfin, les revenus des services mobiles (téléphonie et transport de données), 4,1 milliards d'euros, représente près de 40% de l'ensemble des revenus du marché français des communications électroniques.
Le marché français des e-communications a généré 10,4 milliards d'euros de revenus, dont 8 milliards pour la téléphonie et Internet au quatrième trimestre 2005.
Ce chiffre a progressé de 4,9% par rapport au quatrième trimestre 2004.
Le nombre de lignes fixes, 36,4 millions, est en croissance continue (+4,2% sur un an), a indiqué le régulateur vendredi dans son Observatoire des marchés.
En outre, la baisse du nombre d'abonnements à la téléphonie fixe (RTC), -2,8% sur un an, "est largement compensée" par la croissance rapide des abonnements à un service de téléphonie sur IP : 3,3 millions fin décembre 2005.
Le développement des services utilisant le protocole Internet, téléphonie et télévision par ADSL, témoigne du succès du dégroupage. Celui-ci permet aux opérateurs alternatifs d'utiliser le réseau local de France Télécom, en échange d'une rémunération, pour desservir directement leurs abonnés.
Le nombre de lignes dégroupées a presque doublé en un an pour atteindre 2,8 millions fin 2005, dont 592.000 totalement. Avec le dégroupage total, l'abonné s'affranchit de France Télécom pour disposer d'un seul opérateur IP.
Quant au nombre total d'abonnements Internet, il était de 13,3 millions fin 2005, dont 9,5 millions haut débit (8,9 millions par ADSL).
Le secteur a généré 878 millions d'euros de revenus, dont 674 millions d'euros pour les accès haut débit.
Du côté de la téléphonie mobile, c'est l'euphorie : La France totalise plus de 48 millions de clients mobiles (+8% sur un an). Par ailleurs, 3,4 milliards de SMS ont été envoyés (+11,9%) et les services multimédia mobiles (Wap, MMS, e-mail, etc.) ont été utilisés par plus de 14 millions de clients au quatrième trimestre 2005.
Enfin, les revenus des services mobiles (téléphonie et transport de données), 4,1 milliards d'euros, représente près de 40% de l'ensemble des revenus du marché français des communications électroniques.