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Essentiellement connu pour ses activités de fournisseur d'accès, AOL veut s'imposer comme un grand portail web auprès des internautes...
Le succès commercial de Google ou n'a pas échappé au groupe AOL. Plus de vingt ans après sa création aux Etats-Unis, sous la houlette de Steve CASE, le groupe semble enfin avoir arrêté une stratégie cohérente pour les prochaines années : équilibrer ses revenus et s'imposer comme un grand portail web.
A l'heure actuelle, la filiale française d'AOL génère par exemple 78% de ses revenus grâce à l'accès internet contre 11% avec les services premium et 11% avec la publicité. Tout en voulant développer les revenus de l'accès, avec des formules "triple play" combinant internet, téléphonie et télévision, AOL n'entend pas investir dans son propre réseau et donne désormais la priorité au développement du portail avec pour objectif de générer à moyen terme 33% de ses revenus avec la publicité et 33% avec les services premium.
Dans les prochains mois, AOL devrait par exemple lancer de nouveaux services communautaires sur son portail pour attirer les internautes. Selon la presse américaine, AOL.com travaille par exemple sur un clone de "MySpace.com" tandis que AOL.fr planche actuellement sur le concept des réseaux sociaux.
Outre ces services gratuits, générateurs d'audience, AOL cherche également à multiplier les synergies avec les autres filiales du groupe TimeWarner, en particulier dans le multimedia (musique, vidéo à la demande) afin de proposer une alternative crédible au iTunes Music Store d'Appple, qui vient de franchir le cap du milliard de téléchargements.
Vingt ans après sa création, dix ans après son ouverture au monde de l'internet, cinq ans après sa fusion après , AOL semble donc enfin mettre un terme à son errance stratégique. On pourra toutefois s'étonner qu'un groupe d'une telle envergure ait opté pour un partenariat avec Google au lieu de chercher, comme Yahoo, MSN ou même Ask.com, à se faire un nom sur le segment des moteurs de recherche.
Le succès commercial de Google ou n'a pas échappé au groupe AOL. Plus de vingt ans après sa création aux Etats-Unis, sous la houlette de Steve CASE, le groupe semble enfin avoir arrêté une stratégie cohérente pour les prochaines années : équilibrer ses revenus et s'imposer comme un grand portail web.
A l'heure actuelle, la filiale française d'AOL génère par exemple 78% de ses revenus grâce à l'accès internet contre 11% avec les services premium et 11% avec la publicité. Tout en voulant développer les revenus de l'accès, avec des formules "triple play" combinant internet, téléphonie et télévision, AOL n'entend pas investir dans son propre réseau et donne désormais la priorité au développement du portail avec pour objectif de générer à moyen terme 33% de ses revenus avec la publicité et 33% avec les services premium.
Dans les prochains mois, AOL devrait par exemple lancer de nouveaux services communautaires sur son portail pour attirer les internautes. Selon la presse américaine, AOL.com travaille par exemple sur un clone de "MySpace.com" tandis que AOL.fr planche actuellement sur le concept des réseaux sociaux.
Outre ces services gratuits, générateurs d'audience, AOL cherche également à multiplier les synergies avec les autres filiales du groupe TimeWarner, en particulier dans le multimedia (musique, vidéo à la demande) afin de proposer une alternative crédible au iTunes Music Store d'Appple, qui vient de franchir le cap du milliard de téléchargements.
Vingt ans après sa création, dix ans après son ouverture au monde de l'internet, cinq ans après sa fusion après , AOL semble donc enfin mettre un terme à son errance stratégique. On pourra toutefois s'étonner qu'un groupe d'une telle envergure ait opté pour un partenariat avec Google au lieu de chercher, comme Yahoo, MSN ou même Ask.com, à se faire un nom sur le segment des moteurs de recherche.
