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Selon la dernière étude de Xiti, Firefox est utilisé en moyenne par 20% des européens avec des pics à plus de 35% dans certains pays nordiques comme la Finlande
En attendant le lancement d'Internet Explorer 7, Microsoft continue de perdre des parts de marché sur le vieux continent. Selon la dernière étude de Xiti, un logiciel de mesure d'audience, le navigateur Firefox de la fondation est utilisé en moyenne par 20% des européens.
Derrière cette moyenne, se cachent néanmoins des chiffres assez contrastés. Le taux d'utilisation atteint par exemple 38% en Finlande, 35% en Slovénie et 30% en Allemagne. Il chute à 10% en Grande-Bretagne et aux Pays-bas et 11% au Danemark. Avec 18%, la France est légèrement en dessous de la moyenne européenne.
Avec un taux d'adoption moyen de 20.10%, l'Europe reste ainsi le continent qui utilise le plus Firefox, largement devant l'Amérique du Nord (15.88%), l'Asie (8.81%), l'Afrique (9.41%) ou encore l'Amérique du Sud (5.79%).
Reste à savoir si la montée en puissance d'Opera ou le lancement dans les prochains mois d'Internet Explorer 7 réduira l'attrait pour Firefox. En attendant, la fondation Mozilla aura néanmoins réussi son pari de "redonner le choix aux internautes".
En attendant le lancement d'Internet Explorer 7, Microsoft continue de perdre des parts de marché sur le vieux continent. Selon la dernière étude de Xiti, un logiciel de mesure d'audience, le navigateur Firefox de la fondation est utilisé en moyenne par 20% des européens.
Derrière cette moyenne, se cachent néanmoins des chiffres assez contrastés. Le taux d'utilisation atteint par exemple 38% en Finlande, 35% en Slovénie et 30% en Allemagne. Il chute à 10% en Grande-Bretagne et aux Pays-bas et 11% au Danemark. Avec 18%, la France est légèrement en dessous de la moyenne européenne.
Avec un taux d'adoption moyen de 20.10%, l'Europe reste ainsi le continent qui utilise le plus Firefox, largement devant l'Amérique du Nord (15.88%), l'Asie (8.81%), l'Afrique (9.41%) ou encore l'Amérique du Sud (5.79%).
Reste à savoir si la montée en puissance d'Opera ou le lancement dans les prochains mois d'Internet Explorer 7 réduira l'attrait pour Firefox. En attendant, la fondation Mozilla aura néanmoins réussi son pari de "redonner le choix aux internautes".
