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Entre rachat d'un opérateur WiMax et émergence du "quadriplay" chez ses concurrents, Free s'explique sur sa position à propos de la téléphonie mobile
En marge de la conférence de presse sur les résultats d'Iliad, les dirigeants de Free ont donné quelques clefs pour comprendre la position de l'opérateur vis-à-vis de la téléphonie mobile.
Pionnier du Triple Play avec l'internet, la téléphonie et la télévision, le groupe n'est pas présent dans la mobilité, un segment de marché pourtant occupé par des concurrents comme , Tele2 (en partenariat avec Orange) et peut-être demain par , qui compte SFR à son capital.
En effet, Michael Boukobza, Directeur Général de Free, doute de la pertinence des MVNO ou des offrant couplant téléphonie fixe et mobile. "Il n'y a pas d'économie réelle pour le consommateur et nous n'avons aucun projet dans ce domaine" explique t'il.
Toutefois, depuis le rachat la semaine dernière d'Altitude Telecom, seul opérateur Wimax à disposer d'une licence nationale, le groupe pourrait se lancer dans le déploiement de sa propre infrastructure : "Sachant que France Telecom proposera l'ADSL dans tous ses répartiteurs et que nous travaillons également sur la technologie RE ADSL, il ne faut pas voir le WiMax comme une technologie concurrente ou complémentaire à l'ADSL" explique Michael Boukobza. "Nous comptons plutôt développer le WiMax en proposant de nouveaux services, complémentaires de l'offre actuelle de Free. La technologie WiMax n'étant pas mûre, nous n'avons toutefois rien à annoncer" complète le directeur général de Free.
Fidèle à sa stratégie dans le fixe, Free semble donc attendre de disposer de ses propres infrastructures Wimax nationales avant d'envisager le lancement d'un service de téléphonie mobile. D'ici là, des terminaux de poche WiMax devraient faire leur apparition à moins que l'opérateur ne se lance, après la construction de la Freebox, dans la conception de sa propre Freeboxmobile...
En marge de la conférence de presse sur les résultats d'Iliad, les dirigeants de Free ont donné quelques clefs pour comprendre la position de l'opérateur vis-à-vis de la téléphonie mobile.
Pionnier du Triple Play avec l'internet, la téléphonie et la télévision, le groupe n'est pas présent dans la mobilité, un segment de marché pourtant occupé par des concurrents comme , Tele2 (en partenariat avec Orange) et peut-être demain par , qui compte SFR à son capital.
En effet, Michael Boukobza, Directeur Général de Free, doute de la pertinence des MVNO ou des offrant couplant téléphonie fixe et mobile. "Il n'y a pas d'économie réelle pour le consommateur et nous n'avons aucun projet dans ce domaine" explique t'il.
Toutefois, depuis le rachat la semaine dernière d'Altitude Telecom, seul opérateur Wimax à disposer d'une licence nationale, le groupe pourrait se lancer dans le déploiement de sa propre infrastructure : "Sachant que France Telecom proposera l'ADSL dans tous ses répartiteurs et que nous travaillons également sur la technologie RE ADSL, il ne faut pas voir le WiMax comme une technologie concurrente ou complémentaire à l'ADSL" explique Michael Boukobza. "Nous comptons plutôt développer le WiMax en proposant de nouveaux services, complémentaires de l'offre actuelle de Free. La technologie WiMax n'étant pas mûre, nous n'avons toutefois rien à annoncer" complète le directeur général de Free.
Fidèle à sa stratégie dans le fixe, Free semble donc attendre de disposer de ses propres infrastructures Wimax nationales avant d'envisager le lancement d'un service de téléphonie mobile. D'ici là, des terminaux de poche WiMax devraient faire leur apparition à moins que l'opérateur ne se lance, après la construction de la Freebox, dans la conception de sa propre Freeboxmobile...
