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Après la répression, la réflexion ? Le ministère français de la culture et de la communication ouvre son Observatoire des usages numériques culturels.
Le ministère de la culture et de la communication a préféré fonder un "Observatoire des usages numériques culturels", des nouvelles pratiques, plutôt qu'une entité dédiée exclusivement à la contrefaçon numérique. Heureuse initiative !
Le ministre, Renaud DONNEDIEU de VABRES, a précisé lundi 18 juillet 2005 les missions de cette structure, à savoir : Faire lien entre professionnels et usagers du numérique ; Etudier les pratiques et les attentes des utilisateurs, le contexte et la prospective technologique, les offres numériques et... la contrefaçon.
L'échange de fichiers audio/vidéo/logiciels par le biais du P2P (peer-to-peer) est visé. Mais cette fois, enfin, il n'est pas stigmatisé. Elle reste une technologie légale d'avenir.
"Désormais les publics, les communautés, les individus les plus actifs se font aussi producteurs, éditeurs, créateurs, diffuseurs l'essor des blogs, des messageries instantanées, des forums, du podcasting", a reconnu le ministre.
Technologies, nouveaux modèles d'affaires, modes d'accès à l'information, à la culture et au divertissement "par tous les publics", rien ne doit échapper à l'Observatoire, car se trouvent ici l'avenir de la société, ses emplois, ses potentiels de croissance et de réalisation sociale.
Animé par la Délégation au développement et aux affaires internationales, composé des services spécialisés du ministère de la culture (CNC, DDM, Direction du Livre, DMDTS, Observatoire de la musique) l'Observatoire des usages numériques ne doit rien manquer.
Cette démarche est prometteuse. Va-t-elle se concrétiser en actions positives ?
Le ministère de la culture et de la communication a préféré fonder un "Observatoire des usages numériques culturels", des nouvelles pratiques, plutôt qu'une entité dédiée exclusivement à la contrefaçon numérique. Heureuse initiative !
Le ministre, Renaud DONNEDIEU de VABRES, a précisé lundi 18 juillet 2005 les missions de cette structure, à savoir : Faire lien entre professionnels et usagers du numérique ; Etudier les pratiques et les attentes des utilisateurs, le contexte et la prospective technologique, les offres numériques et... la contrefaçon.
L'échange de fichiers audio/vidéo/logiciels par le biais du P2P (peer-to-peer) est visé. Mais cette fois, enfin, il n'est pas stigmatisé. Elle reste une technologie légale d'avenir.
"Désormais les publics, les communautés, les individus les plus actifs se font aussi producteurs, éditeurs, créateurs, diffuseurs l'essor des blogs, des messageries instantanées, des forums, du podcasting", a reconnu le ministre.
Technologies, nouveaux modèles d'affaires, modes d'accès à l'information, à la culture et au divertissement "par tous les publics", rien ne doit échapper à l'Observatoire, car se trouvent ici l'avenir de la société, ses emplois, ses potentiels de croissance et de réalisation sociale.
Animé par la Délégation au développement et aux affaires internationales, composé des services spécialisés du ministère de la culture (CNC, DDM, Direction du Livre, DMDTS, Observatoire de la musique) l'Observatoire des usages numériques ne doit rien manquer.
Cette démarche est prometteuse. Va-t-elle se concrétiser en actions positives ?
