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Responsable conformité licences Microsoft France, Laurent SIGNORET présente brièvement l'action engagée par l'éditeur pour limiter la contrefaçon de logiciels.
AB - Laurent SIGNORET, bonjour. Selon IDC/BSA près d'un logiciel professionnel sur deux en France est une copie illégale. Les actions engagées depuis septembre 2004 auprès des revendeurs de softwares Microsoft, ont-elles endigué le phénomène ?
LS - Bonjour. Les actions contre les trafics de logiciels contrefaits dans le réseau de distribution sont très importantes :
Elles permettent, d'une part, de protéger les consommateurs qui peuvent être dupés par des revendeurs indélicats et, d'autre part, de garantir aux revendeurs honnêtes, qui sont l'immense majorité, un marché sain sans concurrence déloyale.
Cependant, elles n'ont pas une incidence très nette sur les chiffres du piratage à elles seules, car le plus gros des volumes de copies illégales est généré par les utilisateurs eux mêmes, en entreprise comme à domicile.
C'est donc également par le biais d'actions de sensibilisation auprès des chefs d'entreprise à la gestion de leur parc logiciel, que l'on fait avancer les choses.
Coté utilisateurs, nous lançons un programme destiné à valoriser le logiciel original : WGA (Windows Genuine Advantage). Celui-ci réserve des téléchargements exclusifs et des offres gratuites aux utilisateurs qui authentifient leur licence.
AB - Les 15 partenaires "privilégiés" de Microsoft France amenés à mettre en place des opérations sur le thème de la gestion des actifs logiciels (SAM), ont-t-ils été sélectionnés ?
LS - Oui, absolument. A ce jour, nous avons sélectionné 18 partenaires SAM répartis sur toute la France.
Ces SSII et revendeurs informatiques proposent une offre de service autour de la gestion des actifs logiciels. Ces sociétés disposent d'équipes dédiées qui connaissent parfaitement l'offre Microsoft. Elles peuvent auditer un parc logiciel, faire des recommandations qui permettent aux entreprises de se mettre en conformité et de le rester.
Les noms de ces partenaires sont : ASAP Software, Axone Group, Bechtle, Burotec, C2A, Ceriel, Computacenter France, Computerland, , Lafi, Novenci, PC Ware, RDI, SCC, Scriba, TBI, Tibco, Wstore. Leurs fiches 'contact' détaillées sont consultables sur : http://www.microsoft.com/france/logicieloriginal
AB - Le groupe Microsoft et la Business Software Alliance (BSA) mènent-ils le même combat?
LS - Concernant le piratage, stratégiquement 'oui'. Microsoft est l'un des 17 membres de BSA en France et notre but commun est de réduire la copie illégale de logiciels professionnels, encore bien trop répandue dans les entreprises.
Mais tactiquement, nous n'utilisons pas toujours les mêmes moyens... BSA (http://www.bsa.org/) est l'interlocuteur privilégié des pouvoirs publics, mène des campagnes de sensibilisation et de contrôle auprès des entreprises. La démarche de Microsoft est celle du dialogue et de l'accompagnement de ses clients.
AB - Laurent SIGNORET, bonjour. Selon IDC/BSA près d'un logiciel professionnel sur deux en France est une copie illégale. Les actions engagées depuis septembre 2004 auprès des revendeurs de softwares Microsoft, ont-elles endigué le phénomène ?
LS - Bonjour. Les actions contre les trafics de logiciels contrefaits dans le réseau de distribution sont très importantes :
Elles permettent, d'une part, de protéger les consommateurs qui peuvent être dupés par des revendeurs indélicats et, d'autre part, de garantir aux revendeurs honnêtes, qui sont l'immense majorité, un marché sain sans concurrence déloyale.
Cependant, elles n'ont pas une incidence très nette sur les chiffres du piratage à elles seules, car le plus gros des volumes de copies illégales est généré par les utilisateurs eux mêmes, en entreprise comme à domicile.
C'est donc également par le biais d'actions de sensibilisation auprès des chefs d'entreprise à la gestion de leur parc logiciel, que l'on fait avancer les choses.
Coté utilisateurs, nous lançons un programme destiné à valoriser le logiciel original : WGA (Windows Genuine Advantage). Celui-ci réserve des téléchargements exclusifs et des offres gratuites aux utilisateurs qui authentifient leur licence.
AB - Les 15 partenaires "privilégiés" de Microsoft France amenés à mettre en place des opérations sur le thème de la gestion des actifs logiciels (SAM), ont-t-ils été sélectionnés ?
LS - Oui, absolument. A ce jour, nous avons sélectionné 18 partenaires SAM répartis sur toute la France.
Ces SSII et revendeurs informatiques proposent une offre de service autour de la gestion des actifs logiciels. Ces sociétés disposent d'équipes dédiées qui connaissent parfaitement l'offre Microsoft. Elles peuvent auditer un parc logiciel, faire des recommandations qui permettent aux entreprises de se mettre en conformité et de le rester.
Les noms de ces partenaires sont : ASAP Software, Axone Group, Bechtle, Burotec, C2A, Ceriel, Computacenter France, Computerland, , Lafi, Novenci, PC Ware, RDI, SCC, Scriba, TBI, Tibco, Wstore. Leurs fiches 'contact' détaillées sont consultables sur : http://www.microsoft.com/france/logicieloriginal
AB - Le groupe Microsoft et la Business Software Alliance (BSA) mènent-ils le même combat?
LS - Concernant le piratage, stratégiquement 'oui'. Microsoft est l'un des 17 membres de BSA en France et notre but commun est de réduire la copie illégale de logiciels professionnels, encore bien trop répandue dans les entreprises.
Mais tactiquement, nous n'utilisons pas toujours les mêmes moyens... BSA (http://www.bsa.org/) est l'interlocuteur privilégié des pouvoirs publics, mène des campagnes de sensibilisation et de contrôle auprès des entreprises. La démarche de Microsoft est celle du dialogue et de l'accompagnement de ses clients.
