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Avec l'aide de l'opérateur Ozone, le palais de Tokyo, situé dans le 16e arrondissement à Paris, conjugue art contemporain et technologie sans-fil WiFi
Après la photo, le son ou la vidéo, les artistes s'approprient les dernières technologies de transmissions de données. Avec l'aide de l'opérateur de réseau pervasif Ozone et du constructeur Toshiba, le palais de Tokyo, situé dans le 16e arrondissement à Paris, a décidé de conjuguer art contemporain et technologie sans-fil WiFi.
Baptisée "TokyoZone", ce nouvel espace bénéficie d'une connectivité sans-fil grâce à une liaison de 8 kilomètres, en wifi bidirectionnelle, entre le Palais de Tokyp et le siège d'Ozone, situé dans le 13e arrondissement. Le signal est ensuite relayé, via des points d'accès WiFi, sur le site du Palais de tokyo et est accessible aussi bien aux visiteurs qu'aux artistes.
Parmi les premiers projets de cette TokyoZone, on peut mentionner une étude sur les craieffitis, ces graffitis modernes permettant de signaler la présence d'un hotspot, une exposition photo sur l'appropriation des technologies par les peuples premiers et la dimension "darwinienne du wifi", des sessions musicales "openJam", une radio internet ne diffusant que des œuvres sous CopyLeft ou encore des démonstrations d'objets communicants comme des PC portables, des téléphones Wifi, des Appareils photo numériques Wifi ou encore le dernier produit de Violet, un lapin WiFi baptisée Nabaztag, destiné à être commercialisé une centaine d'euros dans les prochains mois.
"Après la révolution de l'internet, offrant connectivité permanente et haut débit aux foyers, et après celle de la téléphonie mobile, offrant connectivité mobile aux individus, le réseau pervasif est la troisième révolution technologique à proposer le meilleur des deux mondes" martèle Rafi HALADJIAN, fondateur d'Ozone.
A la fois espace d'exposition et showroom, cette TokyoZone cherche ainsi essentiellement à devenir un espace créatif multipliant les interactions entre les artistes et le public, grâce aux technologies. Reste à savoir si le monde de l'art contemporain s'appropriera ce nouvel environnement.
Après la photo, le son ou la vidéo, les artistes s'approprient les dernières technologies de transmissions de données. Avec l'aide de l'opérateur de réseau pervasif Ozone et du constructeur Toshiba, le palais de Tokyo, situé dans le 16e arrondissement à Paris, a décidé de conjuguer art contemporain et technologie sans-fil WiFi.
Baptisée "TokyoZone", ce nouvel espace bénéficie d'une connectivité sans-fil grâce à une liaison de 8 kilomètres, en wifi bidirectionnelle, entre le Palais de Tokyp et le siège d'Ozone, situé dans le 13e arrondissement. Le signal est ensuite relayé, via des points d'accès WiFi, sur le site du Palais de tokyo et est accessible aussi bien aux visiteurs qu'aux artistes.
Parmi les premiers projets de cette TokyoZone, on peut mentionner une étude sur les craieffitis, ces graffitis modernes permettant de signaler la présence d'un hotspot, une exposition photo sur l'appropriation des technologies par les peuples premiers et la dimension "darwinienne du wifi", des sessions musicales "openJam", une radio internet ne diffusant que des œuvres sous CopyLeft ou encore des démonstrations d'objets communicants comme des PC portables, des téléphones Wifi, des Appareils photo numériques Wifi ou encore le dernier produit de Violet, un lapin WiFi baptisée Nabaztag, destiné à être commercialisé une centaine d'euros dans les prochains mois.
"Après la révolution de l'internet, offrant connectivité permanente et haut débit aux foyers, et après celle de la téléphonie mobile, offrant connectivité mobile aux individus, le réseau pervasif est la troisième révolution technologique à proposer le meilleur des deux mondes" martèle Rafi HALADJIAN, fondateur d'Ozone.
A la fois espace d'exposition et showroom, cette TokyoZone cherche ainsi essentiellement à devenir un espace créatif multipliant les interactions entre les artistes et le public, grâce aux technologies. Reste à savoir si le monde de l'art contemporain s'appropriera ce nouvel environnement.
