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Fort d'un bénéfice net de 5,1 milliards de dollars en 2004, le premier opérateur mobile chinois se prépare activement à la mise en œuvre de la 3G en Chine.
Les résultats de China Mobile prouvent que la Chine, malgré un régime politique autoritaire, est en passe de devenir la prochaine puissance mondiale.
L'opérateur mobile chinois détenu à 3,3% par le britannique Vodafone, disposait d'un portefeuille de 204,2 millions fin 2004 (+44,3% sur un an), soit le chiffre le plus impressionnant au niveau mondial.
Quant à son bénéfice net, il était de 5,1 milliards de dollars l'an dernier, soit une progression de 18,1% sur un an. Cette croissance s'explique à la fois par le dynamisme du marché chinois et par les investissements des équipementiers occidentaux.
Fort de ces résultats, China Mobile (www.chinamobile.com) cherche désormais à se développer en dehors de ses frontières. Le premier opérateur mobile de Chine fait partie des plus sérieux candidats au rachat d'une partie du capital de l'opérateur Pakistan Telecom.
A l'intérieur de ses frontières, China Mobile se prépare à l'ouverture du marché à de nouveaux concurrents - aujourd'hui seul China Unicom lui fait de l'ombre - ainsi qu'à l'arrivée prochaine de la téléphonie mobile de troisième génération (3G).
En effet, conformément aux vœux des autorités chinoises, trois ou quatre licences 3G devraient être proposées en Chine dans le courant de l'année 2005, à la fois pour développer l'Internet mobile dans le pays et pour rattraper les économies "capitalistes".
Outre les puissants équipementiers locaux Huawei, actuellement en pourparlers avec l'allemand Siemens, et ZTE, les occidentaux sont sur les rangs, du côté réseaux : le français Alcatel, l'américain , le canadien Nortel. Du côté terminaux : le finlandais Nokia, l'américain , le constructeur nippo-suédois Sony Ericsson.
A l'heure actuelle, les deux opérateurs mobiles chinois, China Mobile et China Unicom, disposent du plus grand nombre d'abonnés au monde (344 millions fin 2004 sur un total de 1,3 milliard d'habitants). Toutefois, le britannique Vodafone reste le numéro un en terme de capitalisation.
Les résultats de China Mobile prouvent que la Chine, malgré un régime politique autoritaire, est en passe de devenir la prochaine puissance mondiale.
L'opérateur mobile chinois détenu à 3,3% par le britannique Vodafone, disposait d'un portefeuille de 204,2 millions fin 2004 (+44,3% sur un an), soit le chiffre le plus impressionnant au niveau mondial.
Quant à son bénéfice net, il était de 5,1 milliards de dollars l'an dernier, soit une progression de 18,1% sur un an. Cette croissance s'explique à la fois par le dynamisme du marché chinois et par les investissements des équipementiers occidentaux.
Fort de ces résultats, China Mobile (www.chinamobile.com) cherche désormais à se développer en dehors de ses frontières. Le premier opérateur mobile de Chine fait partie des plus sérieux candidats au rachat d'une partie du capital de l'opérateur Pakistan Telecom.
A l'intérieur de ses frontières, China Mobile se prépare à l'ouverture du marché à de nouveaux concurrents - aujourd'hui seul China Unicom lui fait de l'ombre - ainsi qu'à l'arrivée prochaine de la téléphonie mobile de troisième génération (3G).
En effet, conformément aux vœux des autorités chinoises, trois ou quatre licences 3G devraient être proposées en Chine dans le courant de l'année 2005, à la fois pour développer l'Internet mobile dans le pays et pour rattraper les économies "capitalistes".
Outre les puissants équipementiers locaux Huawei, actuellement en pourparlers avec l'allemand Siemens, et ZTE, les occidentaux sont sur les rangs, du côté réseaux : le français Alcatel, l'américain , le canadien Nortel. Du côté terminaux : le finlandais Nokia, l'américain , le constructeur nippo-suédois Sony Ericsson.
A l'heure actuelle, les deux opérateurs mobiles chinois, China Mobile et China Unicom, disposent du plus grand nombre d'abonnés au monde (344 millions fin 2004 sur un total de 1,3 milliard d'habitants). Toutefois, le britannique Vodafone reste le numéro un en terme de capitalisation.
