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La diffusion de propos très critiques sur les attentats du 11 septembre 2001 doit-elle entraîner la radiation de son auteur, un universitaire américain ?
Un professeur et citoyen américain risque le licenciement pour avoir publié en et hors ligne des propos acerbes sur les attentats du 11 septembre 2001.
Professeur au centre d'études ethniques de l'Université du Colorado - Boulder, Ward CHURCHILL estime que les attaques terroristes qui ont plongé les Etats-Unis dans le deuil et le doute sont le triste résultat de leurs visées "arrogantes et impérialistes".
L'essai a été mis en ligne (http://www.kersplebedeb.com/mystuff/s11/churchill.html) avant de faire l'objet d'un ouvrage ("On the Justice of Roosting Chickens : Reflections on the Consequences of US Imperial Arrogance and Criminality").
Les propos diffusés l'an dernier ont entraîné de vifs débats et controverses sur les campus universitaires américains, sur les forums et les blogs. Quelques extraits :
"Ward CHURCHILL et l'ensemble de l'académie gauchiste à la tête de nos universités sont financés par nos impôts. Pourquoi continuer à les soutenir alors qu'ils veulent notre destruction ?" (http://www.webcommentary.com/asp/ShowArticle.asp?id=zieves&date=050210)
"Le fait que je ne sois pas d'accord avec M. CHURCHILL ne justifie pas son licenciement. Mais ses idées 'puent', c'est un argument suffisant pour qu'il soit viré." (http://jsteele.redstate.org/story/2005/2/9/234124/8588)
Craignant de perdre sa chaire de professeur, malgré le soutien d'inconditionnels et de partisans de la liberté d'expression inscrite au 1er amendement de la Constitution des Etats-Unis, Ward CHURCHILL a abandonné son poste de responsable du centre d'études ethniques début 2005. Depuis, il n'a cessé de répondre fermement à ses critiques.
Mister C maintient que plusieurs courtiers et investisseurs victimes des attentats du 11/09/01 n'étaient "pas des innocents" mais "des petits Eichmann technocrates" au cœur de l'empire financier américain : Wall Street.
Bill OWENS, gouverneur du Colorado, réclame désormais la radiation de Ward CHURCHILL. Lors d'une tribune le 9 février 2005, l'universitaire s'est déclaré prêt à résister.
Un professeur et citoyen américain risque le licenciement pour avoir publié en et hors ligne des propos acerbes sur les attentats du 11 septembre 2001.
Professeur au centre d'études ethniques de l'Université du Colorado - Boulder, Ward CHURCHILL estime que les attaques terroristes qui ont plongé les Etats-Unis dans le deuil et le doute sont le triste résultat de leurs visées "arrogantes et impérialistes".
L'essai a été mis en ligne (http://www.kersplebedeb.com/mystuff/s11/churchill.html) avant de faire l'objet d'un ouvrage ("On the Justice of Roosting Chickens : Reflections on the Consequences of US Imperial Arrogance and Criminality").
Les propos diffusés l'an dernier ont entraîné de vifs débats et controverses sur les campus universitaires américains, sur les forums et les blogs. Quelques extraits :
"Ward CHURCHILL et l'ensemble de l'académie gauchiste à la tête de nos universités sont financés par nos impôts. Pourquoi continuer à les soutenir alors qu'ils veulent notre destruction ?" (http://www.webcommentary.com/asp/ShowArticle.asp?id=zieves&date=050210)
"Le fait que je ne sois pas d'accord avec M. CHURCHILL ne justifie pas son licenciement. Mais ses idées 'puent', c'est un argument suffisant pour qu'il soit viré." (http://jsteele.redstate.org/story/2005/2/9/234124/8588)
Craignant de perdre sa chaire de professeur, malgré le soutien d'inconditionnels et de partisans de la liberté d'expression inscrite au 1er amendement de la Constitution des Etats-Unis, Ward CHURCHILL a abandonné son poste de responsable du centre d'études ethniques début 2005. Depuis, il n'a cessé de répondre fermement à ses critiques.
Mister C maintient que plusieurs courtiers et investisseurs victimes des attentats du 11/09/01 n'étaient "pas des innocents" mais "des petits Eichmann technocrates" au cœur de l'empire financier américain : Wall Street.
Bill OWENS, gouverneur du Colorado, réclame désormais la radiation de Ward CHURCHILL. Lors d'une tribune le 9 février 2005, l'universitaire s'est déclaré prêt à résister.
