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Le patron de Microsoft, toute puissance du logiciel propriétaire, décrit les partisans d'une réforme des droits d'auteur et des brevets comme des communistes.
Le chef suprême de Microsoft, Bill GATES, a présenté les plus fervents partisans d'une réforme de la gestion des droits sur la propriété intellectuelle et du système américain des brevets comme des "communistes d'un genre nouveau".
"Sous divers prétextes, ils veulent se débarrasser des mesures incitatives dont bénéficient les éditeurs de logiciels, les cinéastes et les musiciens", a déclaré à News.com BILL GATES à la veille du Consumer Electronics Show 2005 de Las Vegas.
Sont vraisemblablement visés : les tenants du logiciel libre - Richard STALLMAN appréciera (http://www.neteconomie.com/perl/navig.pl/neteconomie/infos/article/20041208104640) ; les opposants à la brevetabilité du logiciel ; plusieurs économistes américains dont Joseph STIGLITZ, prix Nobel en 2001...
Tous ne peuvent être taxés d'extrémisme et moins encore de néo-communisme (cf. par comparaison l'approche du PCF http://www.neteconomie.com/perl/navig.pl/neteconomie/infos/article/20020806220910).
Il est vrai cependant, que les défenseurs de la liberté et de la gratuité numériques installés dans les pays riches semblent oublier que cette économie de marché qu'ils dénigrent... les nourrit, de même que la société de l'information elle-même !
Ceci étant dit, l'approche libérale jusqu'au-boutiste de Microsoft - pour devenir numéro un mondial de l'édition de logiciels le groupe a adopté une approche commerciale offensive, voire anti-concurrentielle - n'est pas exempte de défauts.
Dans ce contexte, la diatribe "maccarthyste" de Bill GATES - sur les traces de George BUSH fils ? - risque de fâcher au-delà des sphères intellectuelles et universitaires américaines (http://www.wired.com/news/culture/0,1284,66209,00.html).
Le chef suprême de Microsoft, Bill GATES, a présenté les plus fervents partisans d'une réforme de la gestion des droits sur la propriété intellectuelle et du système américain des brevets comme des "communistes d'un genre nouveau".
"Sous divers prétextes, ils veulent se débarrasser des mesures incitatives dont bénéficient les éditeurs de logiciels, les cinéastes et les musiciens", a déclaré à News.com BILL GATES à la veille du Consumer Electronics Show 2005 de Las Vegas.
Sont vraisemblablement visés : les tenants du logiciel libre - Richard STALLMAN appréciera (http://www.neteconomie.com/perl/navig.pl/neteconomie/infos/article/20041208104640) ; les opposants à la brevetabilité du logiciel ; plusieurs économistes américains dont Joseph STIGLITZ, prix Nobel en 2001...
Tous ne peuvent être taxés d'extrémisme et moins encore de néo-communisme (cf. par comparaison l'approche du PCF http://www.neteconomie.com/perl/navig.pl/neteconomie/infos/article/20020806220910).
Il est vrai cependant, que les défenseurs de la liberté et de la gratuité numériques installés dans les pays riches semblent oublier que cette économie de marché qu'ils dénigrent... les nourrit, de même que la société de l'information elle-même !
Ceci étant dit, l'approche libérale jusqu'au-boutiste de Microsoft - pour devenir numéro un mondial de l'édition de logiciels le groupe a adopté une approche commerciale offensive, voire anti-concurrentielle - n'est pas exempte de défauts.
Dans ce contexte, la diatribe "maccarthyste" de Bill GATES - sur les traces de George BUSH fils ? - risque de fâcher au-delà des sphères intellectuelles et universitaires américaines (http://www.wired.com/news/culture/0,1284,66209,00.html).
