0
Basé sur la maîtrise de connaissances, de la langue française à l'informatique, le projet de loi sur l'école a été adopté mercredi en conseil des ministres.
Centré sur la maîtrise d'un socle commun de connaissances, du français à l'informatique, "le projet d'orientation pour l'avenir de l'école" a été adopté le 12 janvier 2005 en conseil des ministres.
Malgré les critiques du corps enseignant et la grogne syndicale, François FILLON, ministre de l'Education nationale, a maintenu son projet de réforme visant à limiter l'échec scolaire et à dynamiser l'école française à l'ère numérique (www.loi.ecole.gouv.fr).
M. FILLON a rappelé mercredi que la réforme vise à permettre à tous les élèves âgés de 16 ans de maîtriser un "socle commun de compétences et de connaissances fondamentales". A savoir :
La maîtrise de la langue française, des bases mathématiques et des usages grand public des technologies de l'information et de la communication (TIC) ; La pratique d'une langue étrangère, la culture générale (sciences et histoire) et l'exercice de la citoyenneté.
Outre son caractère "réformateur", la future loi d'orientation reprend un élément clé de la loi JOSPIN votée en 1989 : Amener 80% d'une classe d'âge au bac. Cette mesure est complétée d'un nouvel objectif : Conduire 50% d'une classe d'âge à un diplôme de l'enseignement supérieur.
- A propos d'enseignement supérieur, depuis la rentrée universitaire 2004 les étudiants ont la possibilité d'obtenir un ordinateur portable WiFi à des conditions spéciales dans le cadre d'une opération sans précédent lancée par le ministère -
Avant d'être définitivement validé, le "projet d'orientation pour l'avenir de l'école" doit être examiné par les parlementaires... Mais la résistance s'organise.
La sphère syndicale qui reproche au gouvernement de vouloir créer une école "à deux vitesses" et de rétablir "la méritocratie", appelle les enseignants à manifester contre le texte jeudi 20 janvier 2005. Cocorico ?
Centré sur la maîtrise d'un socle commun de connaissances, du français à l'informatique, "le projet d'orientation pour l'avenir de l'école" a été adopté le 12 janvier 2005 en conseil des ministres.
Malgré les critiques du corps enseignant et la grogne syndicale, François FILLON, ministre de l'Education nationale, a maintenu son projet de réforme visant à limiter l'échec scolaire et à dynamiser l'école française à l'ère numérique (www.loi.ecole.gouv.fr).
M. FILLON a rappelé mercredi que la réforme vise à permettre à tous les élèves âgés de 16 ans de maîtriser un "socle commun de compétences et de connaissances fondamentales". A savoir :
La maîtrise de la langue française, des bases mathématiques et des usages grand public des technologies de l'information et de la communication (TIC) ; La pratique d'une langue étrangère, la culture générale (sciences et histoire) et l'exercice de la citoyenneté.
Outre son caractère "réformateur", la future loi d'orientation reprend un élément clé de la loi JOSPIN votée en 1989 : Amener 80% d'une classe d'âge au bac. Cette mesure est complétée d'un nouvel objectif : Conduire 50% d'une classe d'âge à un diplôme de l'enseignement supérieur.
- A propos d'enseignement supérieur, depuis la rentrée universitaire 2004 les étudiants ont la possibilité d'obtenir un ordinateur portable WiFi à des conditions spéciales dans le cadre d'une opération sans précédent lancée par le ministère -
Avant d'être définitivement validé, le "projet d'orientation pour l'avenir de l'école" doit être examiné par les parlementaires... Mais la résistance s'organise.
La sphère syndicale qui reproche au gouvernement de vouloir créer une école "à deux vitesses" et de rétablir "la méritocratie", appelle les enseignants à manifester contre le texte jeudi 20 janvier 2005. Cocorico ?
