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La Commission européenne lance un nouvel appel pour que les Etats membres libèrent une partie du spectre radioélectrique au profit de technologies sans fil.
Le 21ème siècle sera mobile. Dans une communication datée du 22 juillet 2004, la Commission européenne demande à nouveau aux Etats membres de l'UE de libérer les ondes au profit des technologies sans fil "innovantes".
"Ce n'est que par une coopération sérieuse que nous pourrons doter l'Europe d'un cadre garantissant la réalisation d'avancées majeures dans le domaine", a déclaré Olli REHN, successeur d'Erkki LIIKANEN (devenu gouverneur de la banque centrale de Finlande) au poste de commissaire en charge des entreprises et de la société de l'information.
Bruxelles tient à ce qu'une partie du spectre radioélectrique puisse accueillir les solutions "wireless" de demain. Cette politique, "bien engagée", selon un premier rapport de la Commission, exige "un effort accru de la part des Etats membres, des eurodéputés et des industriels européens."
La Commission, elle-même, suit l'application du nouveau "paquet Télécom", un ensemble de directives européennes qui doit être transposé dans la législation de chacun des 25 Etats membres, en particulier celle concernant le spectre radioélectrique.
L'objectif de Bruxelles est d'assurer une attribution du spectre plus efficace et de mettre l'accent sur les technologies d'avenir utilisant les ondes hertziennes. Ces technologies ont un potentiel énorme, aussi bien pour le secteur privé que pour le secteur public.
La Commission européenne, en collaboration avec le comité du spectre radioélectrique (RSC), a mis en place un groupe d'action dans ce domaine (RSPG).
Dans le cadre des travaux du groupe, une première mesure a été adoptée le 8 juillet dernier par l'exécutif européen concernant "l'harmonisation du spectre de fréquences dans la bande des 79 GHz liée à l'utilisation de radars à courte portée."
"L'harmonisation du spectre doit être encouragée et des efforts supplémentaires consentis pour trouver des solutions aux problèmes de brouillage radioélectrique et d'application de la réglementation, problèmes qui ralentissent l'adoption des technologies sans fil dans toute l'Europe", a conclu Olli REHN.
Le 21ème siècle sera mobile. Dans une communication datée du 22 juillet 2004, la Commission européenne demande à nouveau aux Etats membres de l'UE de libérer les ondes au profit des technologies sans fil "innovantes".
"Ce n'est que par une coopération sérieuse que nous pourrons doter l'Europe d'un cadre garantissant la réalisation d'avancées majeures dans le domaine", a déclaré Olli REHN, successeur d'Erkki LIIKANEN (devenu gouverneur de la banque centrale de Finlande) au poste de commissaire en charge des entreprises et de la société de l'information.
Bruxelles tient à ce qu'une partie du spectre radioélectrique puisse accueillir les solutions "wireless" de demain. Cette politique, "bien engagée", selon un premier rapport de la Commission, exige "un effort accru de la part des Etats membres, des eurodéputés et des industriels européens."
La Commission, elle-même, suit l'application du nouveau "paquet Télécom", un ensemble de directives européennes qui doit être transposé dans la législation de chacun des 25 Etats membres, en particulier celle concernant le spectre radioélectrique.
L'objectif de Bruxelles est d'assurer une attribution du spectre plus efficace et de mettre l'accent sur les technologies d'avenir utilisant les ondes hertziennes. Ces technologies ont un potentiel énorme, aussi bien pour le secteur privé que pour le secteur public.
La Commission européenne, en collaboration avec le comité du spectre radioélectrique (RSC), a mis en place un groupe d'action dans ce domaine (RSPG).
Dans le cadre des travaux du groupe, une première mesure a été adoptée le 8 juillet dernier par l'exécutif européen concernant "l'harmonisation du spectre de fréquences dans la bande des 79 GHz liée à l'utilisation de radars à courte portée."
"L'harmonisation du spectre doit être encouragée et des efforts supplémentaires consentis pour trouver des solutions aux problèmes de brouillage radioélectrique et d'application de la réglementation, problèmes qui ralentissent l'adoption des technologies sans fil dans toute l'Europe", a conclu Olli REHN.
