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Les villes de Paris et de Rome comptent parmi les collectivités qui participeront au Fonds (FSN) visant à résorber la fracture numérique entre Nord et Sud.
Le 4 mai 2004, lors d'une conférence parisienne organisée par la CGLU (UCLG - United Cities and Local Governments), les villes de Paris, Lille, Tunis, Rome, et la région basque espagnole, ont annoncé qu'elles contribueront au Fonds de solidarité numérique (FSN).
Proposé par le Président sénégalais Abdoulaye WADE lors du Sommet mondial de la société de l'information (SMSI) de décembre 2003 en Suisse, le FSN a été créé afin de financer l'accès aux technologies de l'information des pays en développement.
Approvisionné par « des contributions volontaires », le Fonds est administré par une fondation installée à Genève. Actuellement, cette fondation présidée par Guy-Olivier SEGOND, gère une enveloppe de 1,6 million d'euros versés par les fondateurs : l'Etat du Sénégal, les villes de Lyon (France), Genève (Suisse) et la province de Turin (Italie).
Les collectivités qui viennent d'annoncer leur participation au projet n'ont pas communiqué le montant de leur engagement.
Toutefois, Pierre SHAPIRA, adjoint au maire de Paris chargé des relations internationales, a précisé que les 115 villes membres de l'Association internationale des maires francophones (AIMF) allaient toutes êtres connectées à Internet d'ici 2006.
Outre les nouveaux contributeurs, une trentaine de pays membres du NEPAD (Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique) se sont engagés à contribuer au FSN, le mois dernier, depuis la capitale du Sénégal, Dakar.
Le 4 mai 2004, lors d'une conférence parisienne organisée par la CGLU (UCLG - United Cities and Local Governments), les villes de Paris, Lille, Tunis, Rome, et la région basque espagnole, ont annoncé qu'elles contribueront au Fonds de solidarité numérique (FSN).
Proposé par le Président sénégalais Abdoulaye WADE lors du Sommet mondial de la société de l'information (SMSI) de décembre 2003 en Suisse, le FSN a été créé afin de financer l'accès aux technologies de l'information des pays en développement.
Approvisionné par « des contributions volontaires », le Fonds est administré par une fondation installée à Genève. Actuellement, cette fondation présidée par Guy-Olivier SEGOND, gère une enveloppe de 1,6 million d'euros versés par les fondateurs : l'Etat du Sénégal, les villes de Lyon (France), Genève (Suisse) et la province de Turin (Italie).
Les collectivités qui viennent d'annoncer leur participation au projet n'ont pas communiqué le montant de leur engagement.
Toutefois, Pierre SHAPIRA, adjoint au maire de Paris chargé des relations internationales, a précisé que les 115 villes membres de l'Association internationale des maires francophones (AIMF) allaient toutes êtres connectées à Internet d'ici 2006.
Outre les nouveaux contributeurs, une trentaine de pays membres du NEPAD (Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique) se sont engagés à contribuer au FSN, le mois dernier, depuis la capitale du Sénégal, Dakar.
