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Le 10 décembre 2003, Jean-Pierre RAFFARIN s'est rendu en Suisse à Genève pour assister au Sommet mondial sur la société de l'information.
Organisé par les Nations Unies, le SMSI accueille les représentants de plus de 135 pays, politiques, industriels, membres de la société civile, ainsi qu'une soixantaine de chefs d'Etat et de gouvernement.
L'objectif d'une telle initiative est de mettre en lumière différentes actions pour tenter de réduire la « fracture numérique » entre pays développés et pays en voie de développement (www.itu.int/wsis/index-fr.html).
Dans un climat tendu, négociations préparatoires difficiles, présence contestée du Président du Zimbabwe, Robert MUGABE, éviction de l'association de défense de la liberté de la presse Reporters sans frontières, Jean-Pierre RAFFARIN a prononcé une allocution mercredi après-midi.
« Ce Sommet réunit pour la première fois, sous l'égide de l'ONU, des Etats qui ont le souci commun d'accompagner l'avènement de la société de l'information. Il s'agit pour nous tous de la première étape d'un nécessaire dialogue international, d'une construction commune », a déclaré le Premier ministre français.
Conformément à ces interventions précédentes sur le sujet, notamment à propos du plan national RESO 2007, Jean-Pierre RAFFARIN a réaffirmé que les technologies de l'information et de la communication « représentent un formidable moyen de mise en commun des patrimoines, des savoirs et des compétences. »
Avant d'ajouter « C'est une société de l'information pour tous que nous devons construire. » Le Premier ministre a associé l'action de la France en la matière à celle de ses partenaires européens.
Enfin, M. RAFFARIN a conclu que les TIC « doivent être placées au service des droits et des libertés, afin de constituer un vecteur de la démocratie, en garantissant la liberté d'expression mais aussi la protection de la vie privée, dans le respect de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. »
Organisé par les Nations Unies, le SMSI accueille les représentants de plus de 135 pays, politiques, industriels, membres de la société civile, ainsi qu'une soixantaine de chefs d'Etat et de gouvernement.
L'objectif d'une telle initiative est de mettre en lumière différentes actions pour tenter de réduire la « fracture numérique » entre pays développés et pays en voie de développement (www.itu.int/wsis/index-fr.html).
Dans un climat tendu, négociations préparatoires difficiles, présence contestée du Président du Zimbabwe, Robert MUGABE, éviction de l'association de défense de la liberté de la presse Reporters sans frontières, Jean-Pierre RAFFARIN a prononcé une allocution mercredi après-midi.
« Ce Sommet réunit pour la première fois, sous l'égide de l'ONU, des Etats qui ont le souci commun d'accompagner l'avènement de la société de l'information. Il s'agit pour nous tous de la première étape d'un nécessaire dialogue international, d'une construction commune », a déclaré le Premier ministre français.
Conformément à ces interventions précédentes sur le sujet, notamment à propos du plan national RESO 2007, Jean-Pierre RAFFARIN a réaffirmé que les technologies de l'information et de la communication « représentent un formidable moyen de mise en commun des patrimoines, des savoirs et des compétences. »
Avant d'ajouter « C'est une société de l'information pour tous que nous devons construire. » Le Premier ministre a associé l'action de la France en la matière à celle de ses partenaires européens.
Enfin, M. RAFFARIN a conclu que les TIC « doivent être placées au service des droits et des libertés, afin de constituer un vecteur de la démocratie, en garantissant la liberté d'expression mais aussi la protection de la vie privée, dans le respect de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. »
