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En novembre 2002, dans le cadre d'un des plus grands procès antitrust engagés contre le numéro un mondial du logiciel, le gouvernement américain, ex-plaignant sous l'ère CLINTON, avait finalement opté sous administration BUSH pour une entente à l'amiable avec Microsoft.
En avril 2003, sous la pression du Département américain de la Justice (www.usdoj.gov), la direction de Microsoft a déclaré qu'elle allait permettre à ses concurrents d'accéder "plus facilement et à moindre coût" au code source de Windows, le plus vendu et le plus décrié des systèmes d'exploitation pour PC.
La firme de Redmond, Californie, envisage de facturer l'accès au code par un système de royalties et à des taux qui ne semblent pas satisfaire Washington...
Jeudi dernier, une journée avant la célébration de l'Indépendance le 4 juillet, le DOJ a fait savoir à la juge fédérale en charge du dossier, Colleen KOLLAR-KOTELLY, que Microsoft "ne s'est pas totalement conformé" à sa requête concernant la facturation de cet accès.
Le DOJ "reste vigilant" quant à la facturation qui sera finalement définie par Microsoft.
Cet accès, exigé dans le cadre de l'entente signé entre le gouvernement américain et l'éditeur, doit permettre aux concepteurs de logiciels concurrents de MS de pouvoir faire fonctionner correctement leurs solutions sous Windows.
Pour que l'entente ne tourne pas à l'orage, il est probable que la firme de Bill "l'architecte du soft" GATES revoit sa copie dans des délais qui n'exaspèreront pas les autorités américaines.
Jim DESLER, porte parole de Microsoft, estime pour sa part que l'éditeur "s'est conformé à l'accord". Néanmoins, il a signalé à la presse que le groupe est "toujours prêt à considérer les observations du gouvernement américain et de l'industrie."
"Nous travaillons ensemble et avons déjà apporté des changements au plan complexe envisagé initialement. Nous continuerons à collaborer", a-t-il insisté.
En avril 2003, sous la pression du Département américain de la Justice (www.usdoj.gov), la direction de Microsoft a déclaré qu'elle allait permettre à ses concurrents d'accéder "plus facilement et à moindre coût" au code source de Windows, le plus vendu et le plus décrié des systèmes d'exploitation pour PC.
La firme de Redmond, Californie, envisage de facturer l'accès au code par un système de royalties et à des taux qui ne semblent pas satisfaire Washington...
Jeudi dernier, une journée avant la célébration de l'Indépendance le 4 juillet, le DOJ a fait savoir à la juge fédérale en charge du dossier, Colleen KOLLAR-KOTELLY, que Microsoft "ne s'est pas totalement conformé" à sa requête concernant la facturation de cet accès.
Le DOJ "reste vigilant" quant à la facturation qui sera finalement définie par Microsoft.
Cet accès, exigé dans le cadre de l'entente signé entre le gouvernement américain et l'éditeur, doit permettre aux concepteurs de logiciels concurrents de MS de pouvoir faire fonctionner correctement leurs solutions sous Windows.
Pour que l'entente ne tourne pas à l'orage, il est probable que la firme de Bill "l'architecte du soft" GATES revoit sa copie dans des délais qui n'exaspèreront pas les autorités américaines.
Jim DESLER, porte parole de Microsoft, estime pour sa part que l'éditeur "s'est conformé à l'accord". Néanmoins, il a signalé à la presse que le groupe est "toujours prêt à considérer les observations du gouvernement américain et de l'industrie."
"Nous travaillons ensemble et avons déjà apporté des changements au plan complexe envisagé initialement. Nous continuerons à collaborer", a-t-il insisté.
