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3 ans après l'éclatement de la bulle internet, la presse en ligne est elle en train de s'imposer ? Entreprises & Médias (association des Directeurs de communication) et i&e Décision (Agence de communication) publient une étude portant sur les médias en ligne, réalisée auprès d'une centaine de rédacteurs en chef, journalistes et patrons de médias en ligne et de groupe de presse.
Premier enseignement, les médias en ligne s'affirment comme des hybrides, réclamant aussi bien leur appartenance à la "presse", tout en soulignant leurs qualités de réactivité par rapport à l'information et donc de concurrents potentiels pour les médias audiovisuels classiques (télévision, radio).
Second enseignement, il existe une divergence de vue à propos du modèle économique entre les "pure players", plutôt sceptiques vis à vis de l'accès payant, et les médias issus de la presse papier, cherchant à reproduire le modèle mixte mêlant achat par le consommateur et publicité.
Dernier enseignement, la relation entre les médias en ligne et les entreprises peut s'améliorer (bonne nouvelle pour les commenditaires de l'étude...). La crédibilité de la presse en ligne n'est plus en cause mais c'est désormais aux services de communication de s'adapter à la réactivité des rédactions électroniques.
Dommage néanmoins que l'étude ne se soit pas intéressé à l'accès mobile (présence de médias sur le wap ou l'i-mode), à leur coexistence avec les weblogs et webzines et bien sûr à leur usage avancé de l'interactivité avec les internautes.
L'étude démontre en tout cas que la presse en ligne parvient à trouver sa place dans le paysage médiatique. Dommage que les annonceurs traditionnels, présents en grands nombre dans la presse écrite, soient encore si discrets sur le web...
Premier enseignement, les médias en ligne s'affirment comme des hybrides, réclamant aussi bien leur appartenance à la "presse", tout en soulignant leurs qualités de réactivité par rapport à l'information et donc de concurrents potentiels pour les médias audiovisuels classiques (télévision, radio).
Second enseignement, il existe une divergence de vue à propos du modèle économique entre les "pure players", plutôt sceptiques vis à vis de l'accès payant, et les médias issus de la presse papier, cherchant à reproduire le modèle mixte mêlant achat par le consommateur et publicité.
Dernier enseignement, la relation entre les médias en ligne et les entreprises peut s'améliorer (bonne nouvelle pour les commenditaires de l'étude...). La crédibilité de la presse en ligne n'est plus en cause mais c'est désormais aux services de communication de s'adapter à la réactivité des rédactions électroniques.
Dommage néanmoins que l'étude ne se soit pas intéressé à l'accès mobile (présence de médias sur le wap ou l'i-mode), à leur coexistence avec les weblogs et webzines et bien sûr à leur usage avancé de l'interactivité avec les internautes.
L'étude démontre en tout cas que la presse en ligne parvient à trouver sa place dans le paysage médiatique. Dommage que les annonceurs traditionnels, présents en grands nombre dans la presse écrite, soient encore si discrets sur le web...