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Malgré la fin du régime de terreur des talibans en 2001, les Afghanes ne gagneront pas leur liberté en deux temps trois mouvements.
Néanmoins, grâce à leur propre détermination, grâce aux travaux de certaines ONG et à des initiatives comme le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la situation ne peut que s'améliorer.
Selon une dépêche de l'agence Reuters, dix-sept étudiants de l'université de Kaboul, dont six jeunes femmes, auraient obtenu un certificat d'aptitude à l'administration réseaux.
Tous auraient suivi un ensemble de cours en informatique supervisé par le PNUD et largement financé par l'équipementier télécoms & réseaux américain Systems.
Avant d'obtenir leur diplôme, les étudiants afghans auraient suivi les cours de la Cisco Networking Academy (CNA), une formation proposée dans plus de 150 pays, dont l'Afghanistan et la France (http://cisco.netacad.net/public/index.html).
Sans doute cette opération très médiatique fait partie du plan américain pour placer ses pions sur l'échiquier régional. Quoi qu'il en soit, la démarche semble porteuse d'avenir pour les populations afghanes, contrairement aux "packs à fragmentation" made in US qui sont récemment tombés sur les habitants de la capitale irakienne.
En Afghanistan, l'objectif officiel du PNUD est de former des informaticiens compétents pour faire entrer le pays, trop longtemps privé d'Internet, dans l'ère numérique.
Le PNUD aurait prévu de former à l'informatique 200 étudiants en Afghanistan, femmes et hommes, avant la fin de l'année 2003.
C'est un progrès. Il faut se rappeler que les femmes afghanes n'avaient aucun droit sous le régime des talibans de 1996 à 2001, surtout pas celui d'étudier.
Aujourd'hui, bien que le gouvernement d'Hamid KARZAI travaille activement avec le PNUD dans le but d'instaurer "la paix et la stabilité" dans le pays, la liberté reste à conquérir pour les Afghanes, notamment hors de Kaboul, la capitale.
Néanmoins, grâce à leur propre détermination, grâce aux travaux de certaines ONG et à des initiatives comme le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la situation ne peut que s'améliorer.
Selon une dépêche de l'agence Reuters, dix-sept étudiants de l'université de Kaboul, dont six jeunes femmes, auraient obtenu un certificat d'aptitude à l'administration réseaux.
Tous auraient suivi un ensemble de cours en informatique supervisé par le PNUD et largement financé par l'équipementier télécoms & réseaux américain Systems.
Avant d'obtenir leur diplôme, les étudiants afghans auraient suivi les cours de la Cisco Networking Academy (CNA), une formation proposée dans plus de 150 pays, dont l'Afghanistan et la France (http://cisco.netacad.net/public/index.html).
Sans doute cette opération très médiatique fait partie du plan américain pour placer ses pions sur l'échiquier régional. Quoi qu'il en soit, la démarche semble porteuse d'avenir pour les populations afghanes, contrairement aux "packs à fragmentation" made in US qui sont récemment tombés sur les habitants de la capitale irakienne.
En Afghanistan, l'objectif officiel du PNUD est de former des informaticiens compétents pour faire entrer le pays, trop longtemps privé d'Internet, dans l'ère numérique.
Le PNUD aurait prévu de former à l'informatique 200 étudiants en Afghanistan, femmes et hommes, avant la fin de l'année 2003.
C'est un progrès. Il faut se rappeler que les femmes afghanes n'avaient aucun droit sous le régime des talibans de 1996 à 2001, surtout pas celui d'étudier.
Aujourd'hui, bien que le gouvernement d'Hamid KARZAI travaille activement avec le PNUD dans le but d'instaurer "la paix et la stabilité" dans le pays, la liberté reste à conquérir pour les Afghanes, notamment hors de Kaboul, la capitale.
