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L'AFP a signalé mardi que le parquet de Paris a requis une "dispense de peine" à l'encontre de l'Américain Timothy KOOGLE, ex-président de , dans une affaire concernant la vente d'objets nazis sur les pages d'enchères de l'annuaire et portail Internet en 2001.
En octobre 2000, l'Amicale des déportés d'Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, le Consistoire israélite de France et le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) avaient déposé une plainte pénale contre Yahoo et son ancien président (Tim KOOGLE a quitté la société au printemps 2001).
L'ex-patron de Yahoo était accusé "d'apologie de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité".
La bataille de procédures qui dure depuis plus de deux ans devrait prendre fin sur une simple sanction de principe contre KOOGLE.
Aujourd'hui, a souligné le substitut David PEYRON, "la situation est régularisée et personne ne viendra dire que Yahoo a eu la volonté première de faire l'apologie des crimes nazis".
Il est intéressant de noter qu'une autre procédure avait été engagée en 2000 sur le plan civil devant le tribunal de Paris par l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) et la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (Licra).
En novembre de cette même année, le juge des référés Jean-Jacques GOMEZ avait alors ordonné de "rendre impossible" dans un délai de trois mois l'accès des internautes français aux enchères d'objets nazis. En janvier 2001, l'accès restait encore possible...
Quoi qu'il en soit, en mai dernier la direction générale de Yahoo a renoncé aux enchères en ligne en France, mais aussi en Allemagne, en Espagne, en Irlande, en Italie et au Royaume-Uni !
Le tribunal correctionnel de Paris, présidé par Nicolas BONNAL, mettra son jugement en délibéré après la plaidoirie de l'avocat de Tim KOOGLE.
Quant aux plaignants, ils réclament une indemnisation symbolique de 1 euro, et la publication du jugement en français et en anglais sur Internet.
En octobre 2000, l'Amicale des déportés d'Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, le Consistoire israélite de France et le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) avaient déposé une plainte pénale contre Yahoo et son ancien président (Tim KOOGLE a quitté la société au printemps 2001).
L'ex-patron de Yahoo était accusé "d'apologie de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité".
La bataille de procédures qui dure depuis plus de deux ans devrait prendre fin sur une simple sanction de principe contre KOOGLE.
Aujourd'hui, a souligné le substitut David PEYRON, "la situation est régularisée et personne ne viendra dire que Yahoo a eu la volonté première de faire l'apologie des crimes nazis".
Il est intéressant de noter qu'une autre procédure avait été engagée en 2000 sur le plan civil devant le tribunal de Paris par l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) et la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (Licra).
En novembre de cette même année, le juge des référés Jean-Jacques GOMEZ avait alors ordonné de "rendre impossible" dans un délai de trois mois l'accès des internautes français aux enchères d'objets nazis. En janvier 2001, l'accès restait encore possible...
Quoi qu'il en soit, en mai dernier la direction générale de Yahoo a renoncé aux enchères en ligne en France, mais aussi en Allemagne, en Espagne, en Irlande, en Italie et au Royaume-Uni !
Le tribunal correctionnel de Paris, présidé par Nicolas BONNAL, mettra son jugement en délibéré après la plaidoirie de l'avocat de Tim KOOGLE.
Quant aux plaignants, ils réclament une indemnisation symbolique de 1 euro, et la publication du jugement en français et en anglais sur Internet.
