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Ont-ils inventé le paint ball sans peinture ? Editeur de jeux hybrides web/wap, la jeune pousse tricolore Newt Games, incubée par InventMobile, présente Kigen, un concept de monde permanent, ludique et multi-joueurs.
Destiné à être lancé au printemps chez l'opérateur japonais KDDI (téléphones 3G, GPS intégré, interface Java) et en France en juin 2003, Kigen a été imaginé par Mathieu Castelli, actuel dirigeant de Newt Games, lors d'un séjour au Japon en 1999 et s'appuie sur les toutes dernières technologies mobiles ( géolocalisation, wap, java, GPRS, messagerie instantanée ) pour proposer à ses futurs abonnés un concept hybride de jeu en réseau "bicéphale", dixit son créateur, disponible sur le web mais également sur des téléphones mobiles WAP ou Java.
Le joueur appartient à une équipe, dirigée depuis un PC par un internaute, et doit se déplacer en zone urbaine pour retrouver des objets, combattre des adversaires et protéger son territoire. Encore discrète sur le scénario définitif du jeu, l'équipe souligne néanmoins la grande modularité de sa technologie et la grande variété de scénarii, allant du "higlander" au "paint ball" en passant par des "chasses au trésor" ou des "éperviers".
"Nous puisons des idées dans les manuels de jeux pour les scoutes" indique ainsi Mathieu Castelli... mais nous restons tributaires des capacités des réseaux et des terminaux. Avec la 3G et les terminaux multimédia, le jeu n'aura plus de latence et nous pourrons plus facilement séduire les hardcore gamers" ajoute t-il.
Contrairement à BotFighter et X-Fire de la jeune pousse suédoise itsalive.com, véritables Quakes urbains par SMS (avec un peu d'imagination), Kirgen vise une population plus large, plus féminine, dans le cadre d'une utilisation plus ponctuelle.
"jeu persistant massivement multi-joueurs et mobile" (JP3M), Kigen est en test et recherche des abonnés Orange (seul réseau à avoir activé la géolocalisation cellulaire) pour tester le jeu tandis que Newt Games recherche des fonds auprès d'investisseurs pour accélérer son développement international.
Destiné à être lancé au printemps chez l'opérateur japonais KDDI (téléphones 3G, GPS intégré, interface Java) et en France en juin 2003, Kigen a été imaginé par Mathieu Castelli, actuel dirigeant de Newt Games, lors d'un séjour au Japon en 1999 et s'appuie sur les toutes dernières technologies mobiles ( géolocalisation, wap, java, GPRS, messagerie instantanée ) pour proposer à ses futurs abonnés un concept hybride de jeu en réseau "bicéphale", dixit son créateur, disponible sur le web mais également sur des téléphones mobiles WAP ou Java.
Le joueur appartient à une équipe, dirigée depuis un PC par un internaute, et doit se déplacer en zone urbaine pour retrouver des objets, combattre des adversaires et protéger son territoire. Encore discrète sur le scénario définitif du jeu, l'équipe souligne néanmoins la grande modularité de sa technologie et la grande variété de scénarii, allant du "higlander" au "paint ball" en passant par des "chasses au trésor" ou des "éperviers".
"Nous puisons des idées dans les manuels de jeux pour les scoutes" indique ainsi Mathieu Castelli... mais nous restons tributaires des capacités des réseaux et des terminaux. Avec la 3G et les terminaux multimédia, le jeu n'aura plus de latence et nous pourrons plus facilement séduire les hardcore gamers" ajoute t-il.
Contrairement à BotFighter et X-Fire de la jeune pousse suédoise itsalive.com, véritables Quakes urbains par SMS (avec un peu d'imagination), Kirgen vise une population plus large, plus féminine, dans le cadre d'une utilisation plus ponctuelle.
"jeu persistant massivement multi-joueurs et mobile" (JP3M), Kigen est en test et recherche des abonnés Orange (seul réseau à avoir activé la géolocalisation cellulaire) pour tester le jeu tandis que Newt Games recherche des fonds auprès d'investisseurs pour accélérer son développement international.
