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Afin de sécuriser le commerce électronique et rassurer l'acheteur inquiet des risques de cyber-fraude, Le GIE (Groupement d'intérêt économique) Carte Bleue, principal émetteur des cartes bancaires en France, lance une solution de paiement en ligne, l'e-Carte Bleue, sorte de carte bleue jetable et renouvelable à chaque achat.
Dans le principe, il s'agit d'un logiciel téléchargeable que l'internaute active pour chaque paiement. Plus besoin donc de communiquer les 16 chiffres de sa carte bancaire sur le réseau, sa banque lui fournit désormais un numéro à usage unique après une identification via un mot de passe.
Les clients de la Société générale sont les premiers à pouvoir tester ce service qui ouvre ce mardi. Dans quelques semaines, la Caisse d'épargne Ile-de-France lui emboîtera le pas. La Poste devrait suivre début juin, puis le Crédit lyonnais en septembre et le groupe Banques populaires d'ici à la fin de l'année.
Mais après le fiasco du lecteur Cybercomm relié au PC, qui avait pourtant mobilisé toutes les banques françaises, rien ne dit que les français se laisseront séduire par ce système d'un abord fastidieux et payant pour l'internaute : la Société générale a annoncé qu'elle facturerait 0,5 euro pour chaque paiement par e-Carte Bleue, en plus d'une "commission d'activation" de six euros couvrant les frais d'enregistrement au service.
En tous cas, le lancement la carte bleue virtuelle et jetable ne devrait pas réjouir Fia-Net, qui se positionne comme l'assureur du Net, apportant sa garantie aussi bien aux cyber-acheteurs, qu'aux marchands en ligne, auxquels il propose son système d'analyse de commande (SAC), baptisé aussi « fraude detector ».
Dans le principe, il s'agit d'un logiciel téléchargeable que l'internaute active pour chaque paiement. Plus besoin donc de communiquer les 16 chiffres de sa carte bancaire sur le réseau, sa banque lui fournit désormais un numéro à usage unique après une identification via un mot de passe.
Les clients de la Société générale sont les premiers à pouvoir tester ce service qui ouvre ce mardi. Dans quelques semaines, la Caisse d'épargne Ile-de-France lui emboîtera le pas. La Poste devrait suivre début juin, puis le Crédit lyonnais en septembre et le groupe Banques populaires d'ici à la fin de l'année.
Mais après le fiasco du lecteur Cybercomm relié au PC, qui avait pourtant mobilisé toutes les banques françaises, rien ne dit que les français se laisseront séduire par ce système d'un abord fastidieux et payant pour l'internaute : la Société générale a annoncé qu'elle facturerait 0,5 euro pour chaque paiement par e-Carte Bleue, en plus d'une "commission d'activation" de six euros couvrant les frais d'enregistrement au service.
En tous cas, le lancement la carte bleue virtuelle et jetable ne devrait pas réjouir Fia-Net, qui se positionne comme l'assureur du Net, apportant sa garantie aussi bien aux cyber-acheteurs, qu'aux marchands en ligne, auxquels il propose son système d'analyse de commande (SAC), baptisé aussi « fraude detector ».
