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Antitrust : La Commission européenne renoncerait à poursuivre son enquête sur le fabricant américain de Processeurs, Intel.
Selon Reuters, la Commission européenne serait sur le point de renoncer à la poursuite de son enquête sur Intel (ce qui pourrait frustrer son concurrent AMD).
En avril 2001, la Commission annonçait qu'elle enquêtait sur les pratiques commerciales du fabricant américain de semi-conducteur, récompensant certains constructeurs et en défavorisant d'autres.
L'autorité disait avoir agi sur demande de certains clients de la compagnie.
La Commission avait également commencé a examiné deux plaintes portées contre Intel.
Finalement, l'autorité européenne avait déclaré dans un communiqué qu'il n'y avait plus lieu de statuer sur une plainte récemment retirée, probablement celle "relative aux chipsets", d'après Michael TSCHERNY porte-parole de la Commission.
Celui-ci estime également probable le rejet de la seconde plainte.
Dans cette plainte, Intel est accusé d'abus de position dominante sur le marché des processeurs pour Windows, système d'exploitation de Microsoft qui «écrase» la concurrence sur le marché du PC.
Par ailleurs, le quotidien économique britannique Financial Times signalait lundi que Mario MONTI, commissaire européen à la concurrence, aurait dit ce week end n'avoir trouvé aucune preuve qui puisse confirmer les accusations d'abus de position dominante dans le secteur des microprocesseurs portées contre Intel.
La décision de la Commission, quelle qu'elle soit, aura de l'influence.
La semaine dernière Bruxelles donnait son accord à la fusion HP/Compaq, et depuis que la Commission a acquis un droit de contrôle sur les fusions et acquisitions en 1989, l'autorité européenne n'a bloqué qu'une seule fusion entre deux compagnies américaines, celle de General Electric et de Honeywell en juillet dernier.
Selon Reuters, la Commission européenne serait sur le point de renoncer à la poursuite de son enquête sur Intel (ce qui pourrait frustrer son concurrent AMD).
En avril 2001, la Commission annonçait qu'elle enquêtait sur les pratiques commerciales du fabricant américain de semi-conducteur, récompensant certains constructeurs et en défavorisant d'autres.
L'autorité disait avoir agi sur demande de certains clients de la compagnie.
La Commission avait également commencé a examiné deux plaintes portées contre Intel.
Finalement, l'autorité européenne avait déclaré dans un communiqué qu'il n'y avait plus lieu de statuer sur une plainte récemment retirée, probablement celle "relative aux chipsets", d'après Michael TSCHERNY porte-parole de la Commission.
Celui-ci estime également probable le rejet de la seconde plainte.
Dans cette plainte, Intel est accusé d'abus de position dominante sur le marché des processeurs pour Windows, système d'exploitation de Microsoft qui «écrase» la concurrence sur le marché du PC.
Par ailleurs, le quotidien économique britannique Financial Times signalait lundi que Mario MONTI, commissaire européen à la concurrence, aurait dit ce week end n'avoir trouvé aucune preuve qui puisse confirmer les accusations d'abus de position dominante dans le secteur des microprocesseurs portées contre Intel.
La décision de la Commission, quelle qu'elle soit, aura de l'influence.
La semaine dernière Bruxelles donnait son accord à la fusion HP/Compaq, et depuis que la Commission a acquis un droit de contrôle sur les fusions et acquisitions en 1989, l'autorité européenne n'a bloqué qu'une seule fusion entre deux compagnies américaines, celle de General Electric et de Honeywell en juillet dernier.
