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L'éditeur américain Hath Commerce rachète iMediation, spécialiste du commerce collaboratif et champion de la levée de fonds en France
La start-up iMediation, détentrice du record français de la levée de fonds avec, à son actif, trois tours de table d'un montant global de 88,5 millions de dollars auprès des plus grands fonds de capital-risque de la Neteconomie, passe en territoire américain !
En effet, le fournisseur de solutions de ventes collaboratives est racheté par Hath Commerce, une société qui édite des logiciels de gestion d'achat et de relation client, basée en Caroline du Sud.
IMediation, fondé en 1998, et qui avait encore signé dernièrement le rachat de l'américain ArcadiaOne, est repris par échange d'actions ce qui représenterait entre 25 et 30% du capital de Hath Commerce, d'après le PDG de la société française, Didier BENCHIMOL, qui reste actionnaire du nouvel ensemble, comme la majorité des investisseurs de sa société, même si les détails financiers de l'opération sont beaucoup moins médiatisés que ne l'étaient les levées de fonds de la start-up française à ses heures de gloire.
Moins honorable qu'une entrée en bourse, cette sortie "industrielle" est néanmoins une bonne opération pour la société, dont le modèle de l'affiliation a été progressivement abandonné au profit d'un concept plus proche de la publicité (création de marque). Tout ça pour ça ?
La start-up iMediation, détentrice du record français de la levée de fonds avec, à son actif, trois tours de table d'un montant global de 88,5 millions de dollars auprès des plus grands fonds de capital-risque de la Neteconomie, passe en territoire américain !
En effet, le fournisseur de solutions de ventes collaboratives est racheté par Hath Commerce, une société qui édite des logiciels de gestion d'achat et de relation client, basée en Caroline du Sud.
IMediation, fondé en 1998, et qui avait encore signé dernièrement le rachat de l'américain ArcadiaOne, est repris par échange d'actions ce qui représenterait entre 25 et 30% du capital de Hath Commerce, d'après le PDG de la société française, Didier BENCHIMOL, qui reste actionnaire du nouvel ensemble, comme la majorité des investisseurs de sa société, même si les détails financiers de l'opération sont beaucoup moins médiatisés que ne l'étaient les levées de fonds de la start-up française à ses heures de gloire.
Moins honorable qu'une entrée en bourse, cette sortie "industrielle" est néanmoins une bonne opération pour la société, dont le modèle de l'affiliation a été progressivement abandonné au profit d'un concept plus proche de la publicité (création de marque). Tout ça pour ça ?
