0
Euronext, fusion des bourses d'Amsterdam, de Bruxelles et de ParisBourse, lance le segment NextEconomy formé de valeurs liées au secteur high tech
Euronext, créé en septembre 2000 à la suite de la fusion des bourses d'Amsterdam, de Bruxelles et de ParisBourse, vient de lancer, en ce début janvier 2002, le segment NextEconomy, composé de 89 sociétés liées au secteur des nouvelles technologies.
Tandis que NextEconomy regroupe les sociétés des secteurs de la nouvelle économie, il est à noter qu'un autre segment baptisé NextPrime rassemble les entreprises des secteurs traditionnels.
Toutes les sociétés négociées en continu sur les marchés réglementés d'Euronext (premier, second et nouveau marchés) ont la possibilité de rejoindre volontairement les segments NextEconomy et NextPrime.
Cependant, elles s'engagent à respecter progressivement des règles précises en matière de communication financière, en complément des obligations de leurs marchés d'accueil.
Elles doivent ainsi utiliser l'anglais dans leur publication, en plus de leur langue d'origine, tenir au moins deux réunions d'analystes par an, publier leurs résultats financiers sur leur site web, et émettre un calendrier des publications et des réunions d'information.
Au plus tard le premier janvier 2004, elles devront publier des comptes trimestriels, et avoir adopté des normes comptables internationales (IAS).
« La création des segments NextEconomy et NextPrime répond d'une part au besoin exprimé par les investisseurs de disposer d'une information approfondie et régulière sur les sociétés cotées, et d'autre part satisfait la demande des petites et moyennes capitalisations d'accroître leur visibilité aux yeux des investisseurs », explique Euronext.
Ainsi, la Bourse pan-européenne contribuera activement à la mise en valeur de NextEconomy et NextPrime en créant des indices propres à chaque segment, et en favorisant la visibilité des sociétés membres des segments par la mise en place d'outils de communication spécifiques.
Euronext, créé en septembre 2000 à la suite de la fusion des bourses d'Amsterdam, de Bruxelles et de ParisBourse, vient de lancer, en ce début janvier 2002, le segment NextEconomy, composé de 89 sociétés liées au secteur des nouvelles technologies.
Tandis que NextEconomy regroupe les sociétés des secteurs de la nouvelle économie, il est à noter qu'un autre segment baptisé NextPrime rassemble les entreprises des secteurs traditionnels.
Toutes les sociétés négociées en continu sur les marchés réglementés d'Euronext (premier, second et nouveau marchés) ont la possibilité de rejoindre volontairement les segments NextEconomy et NextPrime.
Cependant, elles s'engagent à respecter progressivement des règles précises en matière de communication financière, en complément des obligations de leurs marchés d'accueil.
Elles doivent ainsi utiliser l'anglais dans leur publication, en plus de leur langue d'origine, tenir au moins deux réunions d'analystes par an, publier leurs résultats financiers sur leur site web, et émettre un calendrier des publications et des réunions d'information.
Au plus tard le premier janvier 2004, elles devront publier des comptes trimestriels, et avoir adopté des normes comptables internationales (IAS).
« La création des segments NextEconomy et NextPrime répond d'une part au besoin exprimé par les investisseurs de disposer d'une information approfondie et régulière sur les sociétés cotées, et d'autre part satisfait la demande des petites et moyennes capitalisations d'accroître leur visibilité aux yeux des investisseurs », explique Euronext.
Ainsi, la Bourse pan-européenne contribuera activement à la mise en valeur de NextEconomy et NextPrime en créant des indices propres à chaque segment, et en favorisant la visibilité des sociétés membres des segments par la mise en place d'outils de communication spécifiques.
