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Le magazine technologique The Industry Standard serait sur le point de déposer son bilan, la majorité de ses salariés devraient être licenciés.
Subissant les difficultés que connaissent un nombre croissant d'entreprises de la net économie, l'hebdomadaire américain The Industry Standard suspend la publication de son édition papier et prévoit de placer le journal en liquidation.
L'actionnaire majoritaire du Standard, le cabinet d'études International Data Group (IDC) n'a pas souhaité commenter l'événement.
Mais le magazine lui même a confirmé les plans de fermeture définitive dans un article publié jeudi soir sur son site web. Le magazine a indiqué que la plupart des 180 salariés du groupe allaient perdre leur emploi.
« C'est une très triste journée pour tous ceux qui ont contribué à faire du Standard une grande publication », observe son rédacteur en chef Jonathan WEBER.
« Nous sommes très fiers de ce que nous avons accompli, et nous espérons que le magazine et le site web du Standard trouveront un nouveau toit », ajoute-t-il.
Devenu une référence pour l'industrie des dot.com, le magazine a subi de plein fouet la récession qui touche l'industrie des technologies, récession qui a entraîné de très nombreux licenciements dans le secteur et des réductions budgétaires drastiques.
La chute des recettes publicitaires en particulier aura considérablement fragilisé le magazine.
En 2000, le Standard aurait réalisé 140 millions de dollars de revenus par an, contre 40 millions de dollars cette année, soit un recul de plus de 70%, selon l'agence Associated Press.
Malheureusement, le Standard n'est pas le premier du genre à avoir coulé, et ne sera sans doute pas le dernier.
En juin, Business 2.0 était vendu à AOL pour 68 millions de dollars. Quant à Red Herring et Upside, ils ont tous deux licencié et se battent pour trouver de nouvelles opportunités financières.
Subissant les difficultés que connaissent un nombre croissant d'entreprises de la net économie, l'hebdomadaire américain The Industry Standard suspend la publication de son édition papier et prévoit de placer le journal en liquidation.
L'actionnaire majoritaire du Standard, le cabinet d'études International Data Group (IDC) n'a pas souhaité commenter l'événement.
Mais le magazine lui même a confirmé les plans de fermeture définitive dans un article publié jeudi soir sur son site web. Le magazine a indiqué que la plupart des 180 salariés du groupe allaient perdre leur emploi.
« C'est une très triste journée pour tous ceux qui ont contribué à faire du Standard une grande publication », observe son rédacteur en chef Jonathan WEBER.
« Nous sommes très fiers de ce que nous avons accompli, et nous espérons que le magazine et le site web du Standard trouveront un nouveau toit », ajoute-t-il.
Devenu une référence pour l'industrie des dot.com, le magazine a subi de plein fouet la récession qui touche l'industrie des technologies, récession qui a entraîné de très nombreux licenciements dans le secteur et des réductions budgétaires drastiques.
La chute des recettes publicitaires en particulier aura considérablement fragilisé le magazine.
En 2000, le Standard aurait réalisé 140 millions de dollars de revenus par an, contre 40 millions de dollars cette année, soit un recul de plus de 70%, selon l'agence Associated Press.
Malheureusement, le Standard n'est pas le premier du genre à avoir coulé, et ne sera sans doute pas le dernier.
En juin, Business 2.0 était vendu à AOL pour 68 millions de dollars. Quant à Red Herring et Upside, ils ont tous deux licencié et se battent pour trouver de nouvelles opportunités financières.
