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Devant le Congrès américain, les majors insistent pour obtenir une nouvelle loi sur la musique en ligne... qui leur soit favorable.
Vendredi les membres du Congrès américain ont reçu les 5 principaux acteurs de la musique en ligne : AOL , Bertelsmann et EMI Group, Universal et Sony.
Ceux-ci ont plaidé en faveur d'une révision de la législation fédérale sur les droits d'auteur, «indispensable à la bonne santé du secteur.» Or les intérêts des diffuseurs et ceux des ayants droit divergent...
Pour, Rob GLASER, Directeur général de RealNetworks : «Les problèmes liés à l'édition se trouvent être le principal obstacle potentiel au lancement de services musicaux par abonnement de grande envergure.»
Rob GLASER avait également présenté à la sous-commission en charge du web et du respect de la propriété intellectuelle du Congrès, MusicNet service de téléchargement développé en collaboration avec AOL Time Warner, Bertelsmann et EMI, concurrent direct de Duet, plate-forme Sony / Universal.
Quant au président de MP3.com (racheté par Vivendi), Robin RICHARDS, il signalait que son entreprise ne peut se permettre de négocier avec des milliers d'auteurs avant d'autoriser ses internautes à stocker les productions de ces mêmes auteurs par le biais de My.MP3.com.
Robin RICHARDS s'est dit favorable à la création d'un système forfaitaire de règlement des droits d'auteur, système qui est appliqué par les chaînes américaines de télévision par satellite et par câble.
De son côté, le porte-parole des auteurs indépendants, Lyle LOVETT, a dénoncé cette proposition, «idée répugnante pour tous ceux qui croient aux vertus du libéralisme et à l'inviolabilité de la propriété privée.»
Il a ajouté que cette demande n'est pas justifiée puisque la Société des compositeurs américains (Ascap) a accordé aux 2 200 plates-formes web qui en ont fait la demande, des droits d'exploitation sur les millions de titres qu'elle gère... Suite au prochain épisode ?
Vendredi les membres du Congrès américain ont reçu les 5 principaux acteurs de la musique en ligne : AOL , Bertelsmann et EMI Group, Universal et Sony.
Ceux-ci ont plaidé en faveur d'une révision de la législation fédérale sur les droits d'auteur, «indispensable à la bonne santé du secteur.» Or les intérêts des diffuseurs et ceux des ayants droit divergent...
Pour, Rob GLASER, Directeur général de RealNetworks : «Les problèmes liés à l'édition se trouvent être le principal obstacle potentiel au lancement de services musicaux par abonnement de grande envergure.»
Rob GLASER avait également présenté à la sous-commission en charge du web et du respect de la propriété intellectuelle du Congrès, MusicNet service de téléchargement développé en collaboration avec AOL Time Warner, Bertelsmann et EMI, concurrent direct de Duet, plate-forme Sony / Universal.
Quant au président de MP3.com (racheté par Vivendi), Robin RICHARDS, il signalait que son entreprise ne peut se permettre de négocier avec des milliers d'auteurs avant d'autoriser ses internautes à stocker les productions de ces mêmes auteurs par le biais de My.MP3.com.
Robin RICHARDS s'est dit favorable à la création d'un système forfaitaire de règlement des droits d'auteur, système qui est appliqué par les chaînes américaines de télévision par satellite et par câble.
De son côté, le porte-parole des auteurs indépendants, Lyle LOVETT, a dénoncé cette proposition, «idée répugnante pour tous ceux qui croient aux vertus du libéralisme et à l'inviolabilité de la propriété privée.»
Il a ajouté que cette demande n'est pas justifiée puisque la Société des compositeurs américains (Ascap) a accordé aux 2 200 plates-formes web qui en ont fait la demande, des droits d'exploitation sur les millions de titres qu'elle gère... Suite au prochain épisode ?
