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Au Sénégal, la Fête de l'Internet se termine sur un succès. A cette occasion, le Président WADE lance un Grand Prix des NTIC.
A l'occasion de la cérémonie d'ouverture de la Fête de l'Internet organisée ce week end à Dakar, Abdoulaye WADE Président sénégalais, a décidé d'instituer un prix pour les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC).
Ce grand prix viendra récompenser «les meilleures initiatives» développées au Sénégal dans le domaine des nouvelles technologies.
A Dakar, La Fête de l'Internet a été mise en place par la branche sénégalaise de l'Internet Society (Isoc-Sénégal). Malick NDIAYE, ingénieur en informatique, intelligence artificielle et robotique, et responsable du réseau de la primature, en était le coordinateur.
Pour Malick NDIAYE, la Fête de l'Internet était par le passé centrée sur la capitale, mais s'ouvre cette année «aux régions de l'intérieur.»
Dans un pays où posséder un ordinateur reste un luxe, l'édition 2001 de la Fête de l'Internet a pour objectif d'intéresser le grand public. Celui-ci était invité à s'initier et à se connecter gratuitement au web dans les institutions équipées et les cybercafés.
Il y aurait au Sénégal entre 20 000 et 40 000 internautes pour un parc informatique d'environ 600 000 ordinateurs. Ces derniers sont dans leur grande majorité détenus par des entreprises privées.
A l'occasion de la clôture du 2ème festival de l'Internet francophone, une séance de visioconférence entre la France et le Sénégal sera organisée afin d'inaugurer le 1er cyber-campus de l'université de Cheik Anta DIOP à Dakar. La séance sera retransmise sur le site du festival.
L'initiative en faveur d'Internet vers un public plus large devrait faire des émules au Sénégal et sur l'ensemble du continent africain.
A l'occasion de la cérémonie d'ouverture de la Fête de l'Internet organisée ce week end à Dakar, Abdoulaye WADE Président sénégalais, a décidé d'instituer un prix pour les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC).
Ce grand prix viendra récompenser «les meilleures initiatives» développées au Sénégal dans le domaine des nouvelles technologies.
A Dakar, La Fête de l'Internet a été mise en place par la branche sénégalaise de l'Internet Society (Isoc-Sénégal). Malick NDIAYE, ingénieur en informatique, intelligence artificielle et robotique, et responsable du réseau de la primature, en était le coordinateur.
Pour Malick NDIAYE, la Fête de l'Internet était par le passé centrée sur la capitale, mais s'ouvre cette année «aux régions de l'intérieur.»
Dans un pays où posséder un ordinateur reste un luxe, l'édition 2001 de la Fête de l'Internet a pour objectif d'intéresser le grand public. Celui-ci était invité à s'initier et à se connecter gratuitement au web dans les institutions équipées et les cybercafés.
Il y aurait au Sénégal entre 20 000 et 40 000 internautes pour un parc informatique d'environ 600 000 ordinateurs. Ces derniers sont dans leur grande majorité détenus par des entreprises privées.
A l'occasion de la clôture du 2ème festival de l'Internet francophone, une séance de visioconférence entre la France et le Sénégal sera organisée afin d'inaugurer le 1er cyber-campus de l'université de Cheik Anta DIOP à Dakar. La séance sera retransmise sur le site du festival.
L'initiative en faveur d'Internet vers un public plus large devrait faire des émules au Sénégal et sur l'ensemble du continent africain.
