0
Le site de vente de Jouets en ligne eToys a décidé de fermer ses portes début avril .
En proie à de nombreuses difficultés depuis la fin 2000, le site affaibli par des ventes de fin d'année plus faibles que prévu, avait déjà annoncé le 4 janvier, la suppression d'ici la fin mars de 700 emplois sur 1.000. Les dirigeants de eToys viennent d'annoncer la suppression des 293 emplois subsistants encore dans l'entreprise et l'arrêt probable de ses activités au début avril. Le site estime disposer de liquidités suffisantes jusqu'au 31 mars. Au-delà, il lui faudrait "une injection supplémentaire substantielle de capital" qu'il ne s'estime pas en mesure d'obtenir. La société, créée en 1998, avait bénéficié d'une injection d'argent frais de 100 millions de dollars en juin 2000. Mais ses ventes de fin d'année (131 millions de dollars sur la période octobre-décembre) ont été deux fois plus faibles que prévu, les pertes opérationnelles (74,5 millions) s'élevant à plus de la moitié du chiffre d'affaires. En janvier 2001, la compagnie avait déjà fermé son site européen, géré depuis la Grande-Bretagne. Coté , la cote de l'action eToys, descendue en dessous de 1 dollar bien loin des 84 dollars atteints à la fin 1999) alors que la réglementation du Nasdaq exige que l'offre minimum sur un titre soit supérieure à 1,00 dollar pendant 30 séances consécutives, doit être de toute façon être exclue du marché des nouvelles technologies. Une société de plus à ajouter sur la liste des nombreuses entreprises en faillite de la Nouvelle Economie. Qui sera le prochain ?
En proie à de nombreuses difficultés depuis la fin 2000, le site affaibli par des ventes de fin d'année plus faibles que prévu, avait déjà annoncé le 4 janvier, la suppression d'ici la fin mars de 700 emplois sur 1.000. Les dirigeants de eToys viennent d'annoncer la suppression des 293 emplois subsistants encore dans l'entreprise et l'arrêt probable de ses activités au début avril. Le site estime disposer de liquidités suffisantes jusqu'au 31 mars. Au-delà, il lui faudrait "une injection supplémentaire substantielle de capital" qu'il ne s'estime pas en mesure d'obtenir. La société, créée en 1998, avait bénéficié d'une injection d'argent frais de 100 millions de dollars en juin 2000. Mais ses ventes de fin d'année (131 millions de dollars sur la période octobre-décembre) ont été deux fois plus faibles que prévu, les pertes opérationnelles (74,5 millions) s'élevant à plus de la moitié du chiffre d'affaires. En janvier 2001, la compagnie avait déjà fermé son site européen, géré depuis la Grande-Bretagne. Coté , la cote de l'action eToys, descendue en dessous de 1 dollar bien loin des 84 dollars atteints à la fin 1999) alors que la réglementation du Nasdaq exige que l'offre minimum sur un titre soit supérieure à 1,00 dollar pendant 30 séances consécutives, doit être de toute façon être exclue du marché des nouvelles technologies. Une société de plus à ajouter sur la liste des nombreuses entreprises en faillite de la Nouvelle Economie. Qui sera le prochain ?
