Videofutur complète aujourd'hui son service de location à domicile d'une nouvelle offre, avec laquelle il devance l'américain Netflix en important avant lui le modèle qui fit son succès aux USA. Avec le nouveau « PassDuo », la VOD complète dorénavant le DVD en dépit d'un abonnement revu à la baisse.
L'offre de location à domicile se décompose donc ainsi :
L'offre existante « PassDVD » permet toujours de recevoir par la poste les film de son choix, dès leur sortie en DVD, soit 4 mois après leur sortie en salle, pour 15 euros/mois.
Pour 7 euros/mois, la nouvelle offre « PassDuo » permet en plus de les louer en VOD... à tarif préférentiel. Leur disponibilité sur DVD est en contrepartie retardée à 9 mois après leur sortie en salle, ce qui incite à choisir la première option pour 3 euro l'unité.
Netflix propose aux USA les mêmes films simultanément et sans surcout, mais la chronologie des médias impose en France un délai de 36 mois entre la sortie d'un film en salle et sa mise à disposition en vidéo à la demande sur abonnement (SVOD). Reste que Videofutur aurait pu contourner cette chronologie obsolète en adoptant un tarif symbolique.
La VOD de Videofutur se démarque par ailleurs de l'« Instant Streaming » de Netflix en fonctionnant par téléchargement, et non par diffusion en direct. Si Videofutur est bien disponible sur quelques dispositifs, Netflix est en outre intégré à la majorité des équipements multimédias connectés : téléviseurs, disques durs multimédias et consoles de jeu, tablettes et smartphones.
Le catalogue de Videofutur comprend quoi qu'il en soit 20 000 films, disponibles en VOD, en DVD et pour certains en Blu-ray, et ce dès leur sortie.
Videofutur est donc sur les traces de Netflix, mais avec un train ou deux de retard, ce dernier misant depuis exclusivement sur la vidéo à la demande sur abonnement, ce qui ne l'empêche pas d'être probablement l'offre la plus avancée sur le marché français.
Fonctionnement du PassDVD
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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