Philips a profité ce mois-ci du CES pour annoncer un nouveau vidéoprojecteur bien pratique, permettant de bénéficier d'un home cinema facilement, sans installation particulière.
La gamme de vidéoprojecteurs à focale ultra courte de Philips entre dans une nouvelle ère. Le nouveau Screeneo HDP2510 passe effectivement à la Full HD (1920 x 1080 pixels), alors que les modèles de la série 1000 lancés à partir de 2013 s'en tenaient encore à la HD (1280 x 720 pixels).
31,5 x 28 x 25 cm pour 8 kg
Contrairement à ses prédécesseurs, le nouveau modèle n'impose plus un tel compromis entre qualité et praticité. Il progresse même sur les deux fronts. Sa focale encore plus courte permet d'obtenir une image d'une diagonale de 127 cm (50 pouces) à 10 cm du mur et désormais de 3 m (120 pouces) au lieu de 2,5 (100) à 42 cm du mur. Il troque au passage la source lumineuse à LED, caractéristique des vidéoprojecteurs d'appoint, pour une lampe UHP (ultra haute performance), telle qu'on en trouve dans de véritables vidéoprojecteurs home cinema, et passe ainsi de 500 ou 700, selon les modèles, à 2000 lumens.
En contrepartie l'appareil prend de l'embonpoint, mais il conserve néanmoins sa poignée et sa capacité à installer un grand écran en un instant. Il suffit de le poser sur un meuble ou au pied d'un mur et de le brancher à une prise de courant pour projeter un film en quelques minutes. On peut ainsi l'emporter ponctuellement dans une chambre d'enfant, chez des amis, en vacances, etc.
On retrouve effectivement les haut-parleurs 2.1 de 26 W et une connectique pléthorique, comprenant, en plus d'entrées HDMI et VGA, un port USB et du Wi-Fi, pour lire des fichiers directement d'un disque dur externe, d'un téléphone (Miracast) ou d'un autre appareil connecté (ordinateur, box du FAI, NAS... via DLNA).
Le Philips Screeneo HDP2510 sera commercialisé fin mars au prix public de 1 600 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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