Le spécialiste du vidéoprojecteur Optoma a annoncé hier un nouveau modèle miniature. Répondant au nom de « Pico PK120 », ce picoprojecteur présente la particularité d'être entièrement autonome, en réponse au dernier né d'Acer.
L'« Optoma Pico PK120 » abrite pour ce faire une puce de décodage capable de restituer des formats de fichiers divers et variés allant de la vidéo à la bureautique en passant par la photo :
En vidéo il prend en charge les codecs H.264 et Motion JPEG, les conteneurs MP4 et MOV, de quoi projeter directement les vidéos filmées à l'aide d'un compact, d'une caméra de poche ou d'un smartphone par exemple. Pour les films il faudra en revanche s'en tenir au XviD et à l'AVI, faute de MKV.
Du côté de la bureautique, domaine de prédilection des vidéoprojecteurs, il prend en charge les fichiers PowerPoint, Word et Excel (y compris 2010), les PDF et le HTML.
MP3, AAC et OGG sont proposés pour la musique.
Il peut enfin être connecté directement à la sortie vidéo d'un iPhone, iPod Touch ou iPad, avec les applications qui la prennent en charge.
Si la batterie est optionnelle et amovible sur l'Acer C112, elle est en revanche intégrée à l'Optoma PK120 et lui confère une autonomie d'1,5 heure. Il abrite également 2 Go de mémoire interne, extensible de 32 Go par une carte microSDHC.
La projection proprement dite exploite la technologie DLP de Texas Instruments, délivrant en l'occurrence une luminosité non communiquée et un taux de contraste de 2000:1, pour une image d'une taille allant de 12,7 à 178 cm. Une paire de haut-parleurs d'appoints de 0,5 W chacun délivre le son, mais une sortie mini-jack vient fort heureusement à son secours. Des entrées VGA et composite permettent enfin de le connecter à une source externe.
L'ensemble mesure 117 x 60 x 21 mm et pèse 145 g. L'« Optoma Pico PK120 » est commercialisé dès à présent en France au prix public de 199 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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