Pourquoi utiliser Kamatera ?

Créer et gérer un serveur cloud en quelques clics

Kamatera se distingue par sa capacité à lancer un serveur cloud en moins d’une minute. Grâce à son interface web, il suffit de sélectionner la région, le nombre de CPU, la RAM et le stockage. On peut aussi choisir l’OS à installer (Linux, Windows, etc.) et même opter pour des images prédéfinies avec des applications comme WordPress ou Docker. La création est fluide, sans perte de temps. Une fois le serveur en ligne, l’utilisateur le gère via la console de Kamatera ou par SSH. L'interface permet de redémarrer, d’arrêter, ou de reconfigurer le serveur. Cette flexibilité séduit surtout les développeurs qui ont besoin de tester vite, sans galères d’installation. Pour les entreprises, c’est l’assurance d’un déploiement rapide, sans infrastructure physique à gérer. Chaque serveur est isolé, avec un pare-feu personnalisable et la possibilité d’ajouter une IP statique.

Une scalabilité sans limites ni redémarrage

L’un des gros avantages de Kamatera, c’est sa scalabilité. On peut faire évoluer les ressources d’un serveur sans l’éteindre. Si une appli tourne à plein régime, il suffit d’augmenter la RAM ou les CPU depuis l’interface. La montée en charge est instantanée. Pas de redémarrage, pas d’interruption de service. Cette souplesse permet de s’adapter aux pics de trafic sans prise de tête. C’est utile pour les sites e-commerce ou les plateformes SaaS qui ne peuvent pas se permettre d’interruption. Kamatera propose aussi des snapshots pour sauvegarder un serveur à l’instant T. On peut le restaurer en quelques minutes. Pour les équipes DevOps, c’est un vrai plus : tests, rollback, mises à jour, tout devient plus simple. Le stockage aussi est évolutif. On peut ajouter des volumes ou étendre un disque existant à la volée. Le tout est facturé à l’heure ou au mois, sans surcoût caché.

Un pare-feu configurable et une IP dédiée

La sécurité est un autre point fort. Kamatera propose un pare-feu logiciel directement intégré à sa console. On peut créer des règles pour chaque serveur, en définissant les ports ouverts, les protocoles autorisés et les IP d’origine. Cette granularité permet de verrouiller l’accès de manière fine. Pas besoin de configurer ça manuellement depuis l’OS. Chaque serveur peut aussi disposer d’une IP dédiée. C’est pratique pour l’hébergement web, la configuration de DNS ou les accès SSH sécurisés. Kamatera propose également des certificats SSL, des backups automatiques et une surveillance de l’activité réseau. Ces outils rendent la plateforme plus rassurante pour les PME qui n’ont pas de service IT en interne. Enfin, il est possible d’ajouter des load balancers et des réseaux privés pour créer une architecture plus complexe. Le tout reste administrable depuis une seule interface.

Les solutions Kamatera - © Kamatera

Kamatera : toutes les réponses à vos questions

Avec quel OS est compatible Kamatera

Kamatera fonctionne avec Linux (Ubuntu, CentOS, Debian, AlmaLinux…) et Windows Server. On peut aussi installer un ISO personnalisé. Il n'y a pas d'app mobile, juste un site optimisé mobile pour les fonctions basiques.

Faut-il un compte pour utiliser Kamatera ?

Oui, la création d’un compte est obligatoire pour utiliser Kamatera. Il faut aussi enregistrer une carte bancaire, même pour l’essai gratuit. Ce compte permet de suivre la facturation, gérer les instances et accéder aux options de support. Il est possible d’ajouter des utilisateurs secondaires avec des droits spécifiques. Un compte central, donc, pour tout administrer.

Kamatera est-il gratuit ou payant ?

Kamatera propose un essai gratuit de 30 jours avec un crédit offert. Passé cette période, le service est facturé à l’heure ou au mois selon les ressources utilisées. C’est une plateforme payante avec tarification flexible. L’interface permet de simuler les coûts avant déploiement. Des options premium (support, load balancer, snapshots, etc.) sont disponibles en supplément.