Après LG au début du mois, c'est cette semaine au tour Samsung de revenir sur le marché du téléphone à clapet, avec un modèle Android haut de gamme. Lancé en Chine, ce téléphone porte un nom en chinois ainsi que la référence SM-G9198, qu'on pensait destinée à un Samsung Galaxy S6 Mini.
Face au LG Wine Smart, ce Samsung G9198 présente la particularité d'arborer deux écrans, de part et d'autre du clapet. On peut donc l'utiliser indifféremment fermé, comme un smartphone monobloc conventionnel, ou ouvert, avec un clavier alphanumérique physique et un pavé directionnel, dont certains consommateurs sont friands. Il facilite notamment l'utilisation du téléphone auprès d'une clientèle plus âgée, peu à l'aise avec un écran tactile capacitif, intolérant aux fausses manipulations.
Techniquement, ces deux écrans Super Amoled et Gorilla Glass 4 affichent 1280 x 768 pixels sur une diagonale de 3,9 pouces. En contrepartie, l'appareil est assez épais, sans pour autant être vraiment plus petit dans les deux autres dimensions, puisqu'il mesure 120,3 x 61,2 x 16,3 mm. Il pèse en outre 204 g.
On sait par ailleurs que le produit dispose d'un capteur dorsal de 16 millions de pixels, surmonté d'une lentille f/1,9, d'un capteur frontal de 5 millions de pixels, d'une puce Qualcomm Snapdragon 808, comportant un CPU à six cœurs et un modem 4G, et de 16 Go de mémoire interne, extensible par microSD.
Le prix et la date de lancement de ce Samsung SM-G9198 ne sont pas encore connus. Il y a de toute manière très peu de chance que ce modèle soit commercialisé en dehors de Chine. Mais les annonces successives des deux fabricants coréens donnent l'occasion aux consommateurs occidentaux de faire entendre leur voix. Qui sait, s'ils sont nombreux à réclamer ce type d'appareil, peut-être certains fabricants proposeront-ils à nouveau des smartphones à clapets.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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