Après avoir lancé un ordinateur portable (l'EasyPC), le spécialiste de la technologie simplifiée Doro lance aujourd'hui un smartphone Android, le Liberto 810, destiné aux séniors et aux non-technophiles.
Par rapport aux téléphones portables traditionnels PhoneEasy proposés jusqu'à présent, le Doro Liberto 810 promet « le maximum de possibilités et d'applications avec le minimum d'effort ». Comme les autres produits de la marque, il combine plusieurs subtilités qui faciliteront son appréhension par un public non-technophile.
Ce smartphone pour sénior offre pour commencer une ergonomie adaptée : le revêtement rugueux (soft touch) de sa coque facilite sa prise en main, et les touches de fonction Android sont de véritables boutons physiques avec des icônes claires, plutôt que des boutons tactiles aux intitulés stylisés.
Sur le plan fonctionnel, son système d'exploitation Android 4.1 a été personnalisé. L'écran d'accueil arbore de gros boutons pour accéder facilement à trois de ses proches et aux trois fonctions les plus utilisées. Les applications principales (carnet d'adresses, appareil photo, email) ont elles aussi été simplifiées. Doro proposera enfin ses propres applications — dans le secteur des services, des transports, des médias et du divertissement — sur le Google Play Store. Aucune ne semble disponible pour le moment.
Techniquement c'est un smartphone Android conventionnel. Il arbore un écran de 4 pouces d'une définition non communiquée (mais est-ce vraiment un critère ?), abrite 4 Go de mémoire, extensible par microSD, et dispose d'un capteur dorsal à 5 millions de pixels. Il est malheureusement dépourvu de capteur frontal, qui aurait permis d'effectuer facilement de la visio.
Ce Doro Liberto 810 est disponible dès à présent en France au prix public de 180 euros hors abonnement. Il constitue donc une alternative intéressante au Fujitsu Stylistic S01, commercialisé exclusivement par Orange.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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