Le fabricant chinois Vivo a récemment lancé le X1, un smartphone Android Hi-Fi destiné aux audiophiles. Et Vivo a de qui tenir, puisqu'il appartient au même groupe que Oppo, un fabricant réputé de lecteurs de Blu-ray de salon.
Alors que la plupart des smartphones confient l'audio à leur puce tout-en-un, et bénéficient dans le meilleur des cas d'un traitement logiciel maison, le Vivo X1 dispose quant à lui de composants audio dédiés.
De véritables composants issus du domaine de la Hi-Fi
Il abrite tout particulièrement un convertisseur numérique-analogique (DAC) Cirrus Logic CS4398 et un convertisseur de taux d'échantillonnage CS8422, des puces réputées qu'on retrouve dans toutes sortes de produits Hi-Fi. Et pour ne rien gâcher, il est livré en standard avec une paire d'écouteurs Beyerdynamic MMX 71 iE, qui vaut à elle seule près de 100 euros. Le fabricant le propose également avec un casque AKG K420 ou Sennheiser CX215.
Le Vivo X1 est par ailleurs un smartphone comme les autres, si ce n'est qu'il mesure seulement 6,55 mm d'épaisseur. Cette performance lui coûte un emplacement microSD, une contrepartie importante pour un terminal dédié à la musique, haute fidélité qui plus est. Il abrite une batterie de 2000 mAh, confortable compte tenu de son épaisseur, un SoC ARM Cortex-A9 double cœur à 1,2 GHz, 1 Go de mémoire vive, 16 Go de mémoire interne et dispose d'un écran IPS qHD (960 x 540 pixels) de 4,7 pouces, d'un capteur dorsal à 8 millions de pixels et d'un capteur frontal à 1,3 million.
Le Vivo X1 est d'ores et déjà disponible en Chine au prix public de 2500 yuans, soit environ 310 euros. Il repose sur Android 4.1 Jelly Bean mais on ne sait pas si toutes les langues habituelles d'Android sont proposées.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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