Vinci Autoroutes proposera cet été du Wi-Fi gratuit et payant sur ses aires d'autoroute. Il démarre une phase pilote le long de la Côte d'Azur, sur l'autoroute A8.
L'autoroute de l'information est plus que jamais à la conquête des véritables autoroutes. Un mois après qu'Orange a annoncé ses ambitions en termes de couverture cellulaire des principaux axes routiers de France, Vinci Autoroutes a annoncé la semaine dernière le déploiement de hotspots Wi-Fi sur ses aires d'autoroute.
Le concessionnaire d'autoroutes Vinci équipera dans un premier temps une dizaine d'aires du réseau Escota, sur l'autoroute A8 entre Aix-en-Provence et Nice (environ 150 km).
Une heure gratuite, 12 h pour 4 euros
La première heure sera gratuite, les douze suivantes seront facturées 4 euros, par le biais d'un paiement par carte bancaire directement depuis l'appareil à connecter. Le décompte est remis à zéro tous les jours à minuit, si bien qu'un automobiliste ou un chauffeur de camion qui passerait la nuit sur une aire pourrait se connecter gratuitement 1 h avant le coucher et de nouveau 1 h au lever, s'il dort avant minuit.
Du moins pendant la phase pilote, compte-tenu de la faible étendue du réseau, le décompte suit l'usager : il ne peut pas cumuler les heures gratuites d'aire en aire. Il peut reprendre sa connexion gratuite dans un délai d'une heure. La connexion payante quant à elle donne droit à 12 h de connexion.
Une liaison fibre optique à 1 Gb/s
La mise en œuvre du réseau Wi-Fi est assurée par Wifirst, un opérateur spécialisé dans le déploiement de réseaux Wi-Fi dans des lieux publics. Chaque aire d'autoroute bénéficie d'une connexion en fibre optique à 1 Gb/s, ce qui devrait permettre à plusieurs dizaines d'usagers de se connecter confortablement en simultané. L'opérateur respecterait la neutralité du Net puisqu'il promet une connexion « comme à la maison », sans restriction (VPN, BitTorrent...), mais avec traçabilité des accès.
Ce « service de Wi-Fi ultra haut débit » sera quoi qu'il en soit opérationnel à partir du 1er juillet 2015.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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