Avec TeamViewer 10, une mise à jour itérative majeure, la solution de collaboration touche-à-tout arrive à maturité, pour les particuliers comme pour les professionnels.
Mise à jour : L'article a été modifié suite à la publication de la version finale du logiciel.
TeamViewer a lancé aujourd'hui, comme chaque année au début du mois de décembre, la nouvelle version majeure de sa solution de contrôle à distance et de collaboration via Internet. Après plusieurs versions centrées sur quelques nouveautés majeures, TeamViewer 10 est une mise à jour itérative apportant une multitude d'améliorations mineures dans tous les domaines. La version 10 est en quelque sorte la version de la maturité.
TeamViewer concurrence désormais Skype et Lync
TeamViewer 10 bénéficie pour commencer d'une interface modernisée, encore plus en harmonie avec les codes esthétiques « plats » inaugurés par Windows 8. Entre autres retouches et améliorations, citons la possibilité d'ajouter une photo de profil à son compte, qui sera particulièrement utile dans le cadre des fonctions de réunion et des nouvelles fonctionnalités de collaboration à distance.
C'est d'ailleurs dans ce domaine que la nouvelle version évolue le plus. TeamViewer accueille effectivement des fonctions d'appel vidéo et de messagerie instantanée dédiées. On peut désormais utiliser TeamViewer pour effectuer une visio à 10 participants ou pour discuter seul à seul ou à plusieurs (avec chiffrement point à point et maintient de l'historique), comme on le ferait avec une solution de communication comme Skype. Jusqu'à présent ces fonctions étaient complémentaires des sessions de réunion ou de maintenance, à présent elles peuvent fonctionner de manière autonome. La voix sur IP passe quant à elle à une « qualité de transmission HD ».
Contrôle à distance amélioré en entreprise comme à domicile
TeamViewer poursuit par ailleurs ses efforts en matière de maintenance à grande échelle, en entreprise ou dans le cadre de prestations d'assistance informatique.
La console de gestion (« Management Console ») facilite l'installation d'un module d'accès sans surveillance personnalisé et le référencement de l'ordinateur : le technicien se connecte à la console depuis l'ordinateur de l'utilisateur puis la procédure est largement automatisée. Citons pêle-mêle la possibilité de saisir un compte-rendu en cours de route (et non plus seulement en fin de session) et d'effectuer des captures d'écran de l'ordinateur distant.
La console inaugure en outre un gestionnaire de stratégies centralisées, permettant d'effectuer plus facilement le paramétrage en lot et à distance des instances TeamViewer. On peut gérer plusieurs stratégies et les appliquer à différents groupes, alors qu'auparavant il fallait exporter les paramètres depuis une machine préconfigurée puis effectuer un nouveau déploiement (incluant une réinstallation) du logiciel.
Les particuliers qui veulent télécommander leurs ordinateurs seront quant à eux heureux d'apprendre qu'ils peuvent dorénavant affecter leurs ordinateurs à leur compte et s'ils le souhaitent y accéder sans mot de passe supplémentaire, ce qui facilite sensiblement la mise en œuvre. Ils pourront en outre accéder à leurs ordinateurs via un lien Internet (sous la forme start.teamviewer.com/ID) ou via la console de gestion, puis le contrôler via Flash directement depuis un navigateur Internet ou via le logiciel TeamViewer déclenché automatiquement.
Le logiciel accueille enfin diverses optimisations, en termes de performances en particulier, ainsi que de possibilités offertes par les API, pour l'intégration à des solutions professionnelles existantes (annuaire d'entreprise, facturation, etc.).
TeamViewer 10 est disponible dès à présent, pour Windows, OS X et Linux. Le logiciel demeure gratuit pour un usage personnel et payant pour un usage professionnel ou commercial. Les tarifs vont de 500 euros pour un poste à 2000 euros pour un nombre illimité de postes et 3 sessions en simultanées, puis 700 euros par session supplémentaire.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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