Olympus a annoncé il y a une dizaine de jours, en prévision de l'IFA 2014, le renouvellement de son Pen haut de gamme. Il lance ainsi l'E-PL7, un nouvel hybride branché qui embrasse les tendances du selfie et du partage en ligne.
Depuis qu'Olympus a lancé la gamme OM-D à destination des amateurs de photographie, il peut se concentrer sur les photographes du dimanche avec la gamme Pen. Et le fabricant ne s'en cache pas, le nouveau Pen E-PL7 est ouvertement présenté comme un accessoire de mode destiné aux fashionistas qui aiment partager leur look.
Par rapport à son prédécesseur, l'E-PL5, le nouveau modèle accueille principalement une connectivité Wi-Fi et une application mobile Android et iOS. De quoi le télécommander presque entièrement, jusqu'au zoom fourni en standard, pour réaliser des autoportraits et les partager aussitôt sur les réseaux sociaux de son choix, au travers de son smartphone.
On retrouve par ailleurs l'écran orientable à 180°, vers le bas et plus vers le haut. On ne peut donc plus poser l'appareil lorsque l'écran est retourné (l'application mobile comblant en partie cette lacune), mais l'affichage passe désormais automatiquement en mode miroir et le zoom revient en position grand angle, ce qui facilite le cadrage à bout de bras. Cet écran tactile de 3 pouces passe au passage de 480 x 320 à 740 x 480 pixels.
Le même capteur et la même électronique que des modèles existants
Malheureusement, deux ans après l'E-PL5, le reste de la fiche technique de l'E-PL7 n'évolue quasi pas. On retrouve donc le capteur Live MOS de 16 millions de pixels au format 4/3, débarrassé de son filtre passe bas, la puce de traitement TruePic VII de l'OM-D E-M10 avec laquelle il atteint 25 600 ISO et 8 i/s, la monture d'objectif interchangeable Micro Four Thirds et un zoom rétractable et motorisé équivalent à un 28-84 mm f/3,5-5,6.
Cet Olympus Pen E-PL7 sera disponible au mois d'octobre en France, au prix public de 600 euros, c'est-à-dire au prix d'autres hybrides dans l'ère du temps tels que le Sony Alpha 5100.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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