L'application Facebook pour iOS s'est mise au code natif un peu plus de trois mois avant celle pour Android, à la fin du mois d'août, mais la nouvelle version 5.3 promet à nouveau des performances améliorées. Le fil d'actualité a bénéficié d'optimisations pour se charger plus rapidement, le journal a quant à lui été entièrement remanié.
Sur ce dernier, un nouveau bouton (trois points superposés) permet d'appeler un menu permettant finalement de « ne pas afficher (une publication) dans le journal », qui permet d'alléger son journal sans pour autant supprimer la publication. Jusqu'à présent les utilisateurs pouvaient seulement supprimer leurs publications, quand ils savaient qu'il pouvaient faire glisser leur doigt dessus. Mais le glissement est dorénavant réservé à l'affichage des panneaux latéraux, le menu à gauche et la liste d'amis à droite.
Enfin, cette mise à jour apporte finalement la possibilité de choisir l'album dans lequel publier des photos depuis son terminal iOS. Jusqu'à présent les photos rejoignaient obligatoirement un album « Téléchargement mobiles ». Mais le mobile remplace de plus en plus l'appareil photo compact pour des séances complètes, telles qu'une soirée célébrative ou des vacances, qui méritent leurs propres albums. L'application permet d'ailleurs d'en sélectionner mais aussi d'en créer.
Facebook 5.3 pour iOS est disponible dès à présent sur l'App Store.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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