En complément à son hybride et à son reflex expert, Sony a annoncé hier le renouvellement de son caméscope à objectif interchangeable. Si les nouveautés photo du fabricant sont marquantes, le nouvel « Handycam NEX-VG20 » est quant à lui une mise à niveau moins audacieuse de son prédécesseur.
Si le VG10 était plus ou moins la variante caméscope du NEX-5, il en va de même pour le « NEX-VG20 » : le nouveau modèle bénéficie effectivement des mêmes apports que le tout récent NEX-5N.
AVCHD 2.0 Progressive et Dolby Digital 5.1
Il adopte donc à son tour le nouveau capteur CMOS rétroéclairé au format APS-C doté de 16,1 millions de pixels. Au travers de la prise en charge de la jeune norme AVCHD 2.0, il filme dorénavant en AVCHD Progressive, en Full HD 1080/25p ou même 50p, en exploitant le débit maximal de 28 Mbps, alors que son prédécesseur se cantonnait au 1080/50i (entrelacé) à 24 Mbps.
Le microphone, l'un des principaux points différenciant par rapport aux appareils photo, est toujours doté de quatre capsules et enregistre désormais en multicanal Dolby Digital 5.1.
Écran tactile et ergonomie améliorée
L'ergonomie enfin, l'autre spécificité du caméscope, a elle aussi été améliorée. L'héritage du NEX-5N se ressent de nouveau puisque l'écran VGA de 3 pouces devient à son tour tactile. Une nouvelle poignée, une molette paramétrable et des touches de fonctions dédiées parachèvent l'amélioration. Le viseur électronique est en revanche inchangé, au lieu de passer à l'OLED et au XGA.
Le « Sony Handycam NEX-VG20E » nu sera commercialisé début novembre en France au prix public de 1600 euros. Le « NEX-VG20EH », livré quant à lui avec le zoom stabilisé 11x équivalent 18-200 mm f/3,5-6,3, sera proposé à la même date au prix de 2200 euros. Une somme rondelette pour un caméscope grand public mais un bon rapport prix/prestation pour les cinéastes amateurs férus du rendu cinéma qu'autorise son grand capteur.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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