Test Asus ZenScreen OLED : un écran OLED portable très convaincant

Matthieu Legouge
Spécialiste Image
31 mars 2023 à 11h41
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© Matthieu Legouge pour Clubic
© Matthieu Legouge pour Clubic

Présent avec plusieurs références dans la catégorie des écrans portables, Asus s’est mis en tête d’offrir aux nomades un large panel de possibilités avec des produits variés comme le ZenScreen Ink et son stylet, ou encore le ZenScreen OLED que nous avons pu avoir entre les mains quelque temps.

Asus ZenScreen OLED MQ16AH
  • Une image OLED de grande qualité
  • Affichage lumineux et dynamique
  • Capteur de présence
  • Compact et léger
  • Les reflets, comme souvent avec l'OLED
  • Cover magnétique peu pratique
  • Logiciel nécessaire pour la rotation automatique


C’est donc un moniteur que nous passons aujourd’hui en revue, à la différence que celui-ci est portable et se démarque clairement par sa fiche technique en ciblant aussi bien des usages créatifs que de productivité et s’avère aussi pertinent pour le jeu vidéo.

Avec sa dalle OLED Full HD de 15,6 pouces, sa prise en charge des signaux HDR10 et sa couverture DCI-P3 annoncée comme complète, ce ZenScreen MQ16AH multiplie les atouts pour justifier son prix et proposer un usage flexible et polyvalent. Mais est-il réellement aussi utile et efficace qu'il le prétend pour un usage quotidien ?

Prix et disponibilité

L’Asus ZenScreen OLED MQ16AH affiche un tarif plus élevé que la moyenne pour un écran portable de 15,6 pouces. Lancé à 429 €, il se distingue malgré tout par un affichage OLED dont les capacités sont bien supérieures à celle d’autres écrans ; on pense par exemple au ZenScreen Go chez Asus, ou des références comme le Philips 16B1P3302. Du côté de l’OLED, le seul concurrent d’Asus est Innocn avec un écran portable similaire sur de nombreux points, mais un prix de vente un peu plus bas avec un prix de lancement à 349 euros.

Fiche technique Asus ZenScreen OLED MQ16AH

Résumé

Taille d'écran
15,6 pouces
Résolution
1920 x 1080 px
Format d'écran
16/9
Type de dalle
OLED
Technologie d'affichage
Anti-lumière bleue, Flicker-Free
HDR
HDR10
Taux de rafraîchissement
60Hz
Temps de réponse
1ms
Type d'écran
OLED

Affichage

Taille d'écran
15,6 pouces
Résolution
1920 x 1080 px
Format d'écran
16/9
Type de dalle
OLED
Dalle mate antireflet
Non
Technologie d'affichage
Anti-lumière bleue, Flicker-Free
HDR
HDR10
Luminosité
400 cd/m²
Contraste
100 000 : 1
Profondeur de couleur
10 bit
Taux de rafraîchissement
60Hz
Temps de réponse
1ms

Écran

Type d'écran
OLED
Écran large
Non
Écran incurvé
Non
Sans bordures
Oui
Compatible 3D
Non
Écran tactile
Non

Ergonomie

Écran pivotable
Non
Pied réglable en hauteur
Non
Pied amovible
Non
Fixation VESA
N.C

Connectique

Entrées vidéo
USB Type C x2, Mini HDMI, HDMI
Sorties audio
Prise casque Jack 3.5mm

Caractéristiques physiques

Largeur
358,7mm
Hauteur
226,15mm
Profondeur
8,95mm
Poids
0,65kg

Alimentation

Consommation
6W
Consommation en veille
0,5W
Alimentation interne
Non

Design : un écran très fin et léger à qui ne manque qu’un support

Cet écran ZenScreen OLED MQ16AH ressemble à première vue à bien d’autres modèles de cette catégorie de produit. Celui-ci se démarque toutefois par une esthétique sobre et raffinée avec ses contours métalliques et ses bordures fines, tout autant que par sa légèreté et sa compacité avec une épaisseur d’environ 5 mm à son point le plus fin, 8 mm au niveau de la zone des connectiques, et un poids de 650 g.

Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge

À l’arrière, le boitier est également réalisé en aluminium, apportant rigidité à l’ensemble et un niveau de finition impeccable. On y trouve une encoche avec pas de vis qui permet de venir fixer le trépied pliable d’Asus. Hélas, l’écran n’est pas livré avec ce trépied, mais uniquement avec sa « Smart Case » qui n’est autre qu’un support pliable et magnétique en similicuir.

Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge

Quelques essais et coups d’œil vers la notice d’utilisation sont nécessaires pour appréhender ce support. Il permet de positionner l’écran de diverses manières, en mode paysage comme en mode portrait. Lors des premiers jours d’utilisation, cette cover magnétique ne rend pas vraiment les choses simples ; on s’y habitue toutefois après quelques manipulations. L’autre désavantage avec ce support concerne le transport puisqu’il ne permet pas de venir protéger la dalle. Il est donc nécessaire de se fournir d’une pochette ou sacoche de transport adéquate.

Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
© Matthieu Legouge pour Clubic
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Connectiques et fonctionnalités

Malgré sa finesse, le ZenScreen OLED dispose d’un ensemble de connectique et de fonctionnalités bienvenues pour un écran portable. On remarque tout d’abord les deux capteurs, à droite sur la bordure inférieure de l’écran. Ces capteurs de présence sont utiles afin de mettre le moniteur en veille automatiquement lorsque personne n’est détecté devant l’écran pendant plusieurs minutes. Il s’agit bien sûr d’un avantage en matière d’économie d’énergie, mais on peut également penser que cette fonctionnalité est là avant tout pour prévenir tout risque de marquage de la dalle, s’agissant de la technologie d’affichage OLED.

© Matthieu Legouge pour Clubic
© Matthieu Legouge pour Clubic
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge


Un total de quatre boutons habille le flanc gauche, le plus large d’entre eux n’est autre que le bouton d’alimentation, les trois autres servent à naviguer au sein de l’interface. Le connecteur d’alimentation (USB-C) vient aussi se ficher sur le flanc gauche, complété par un autre port USB-C avec prise en marge du Display Alt Mode. Sur le flanc droit, on profite d’un port Mini-HDMI, d’un autre connecteur USB-C (avec DP) et enfin une prise jack 3.5 mm pour terminer.

Ergonomie logicielle et paramétrage

Trois fins boutons sont à disposition pour naviguer au sein de l’OSD, un quatrième pour allumer et éteindre l’écran, également utile à la navigation.

Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge


Clair et complet, l’OSD comprend huit modes d’images et de nombreux paramètres afin d’ajuster l’affichage (luminosité, contraste, température, saturation, etc.). Il donne également accès à des fonctionnalités pertinentes, notamment dans le but de protéger la dalle OLED de ce ZenScreen. On trouve ainsi une fonction de protection d’écran, ainsi qu’un capteur de proximité à activer ou désactiver selon les besoins. Celui-ci agit sur la luminosité de l’écran : elle s’abaisse automatiquement lorsque l’on s’éloigne, et revient à la normale en se rapprochant de l’écran.

Qualité d'image

Le ZenScreen OLED se démarque clairement de la variante IPS au catalogue d’Asus. On se rend tout de suite compte que l’on a affaire à autre chose en matière d’affichage, avec un écran lumineux, aux couleurs riches, aux angles de vision ultra-larges et surtout aux contrastes insondables.

Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge


La colorimétrie avec le mode Splendid n’est pas particulièrement aussi précise que ce à quoi on s’attendait. La température de couleurs tire légèrement vers le rouge et la courbe gamma manque de linéarité dans son suivi. Rien d’aberrant, nos mesures montrent par ailleurs que l’écran dispose d’un bon calibrage d’usine avec un Delta E moyen de 2,54 en SDR et de 2,81 lorsque l’HDR est actif. Par ailleurs, la couverture des espaces colorimétrique est juste formidable, le DCI-P3 est couvert dans sa quasi-intégralité à 99,4 %. Les espaces Adobe RGB et Rec. 2020 sont quant à eux respectivement couverts à 95 % et 77 %. De solides performances qui font de cet écran OLED un excellent prétendant pour la retouche photo, ou encore pour le montage vidéo.

Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge


La luminosité maximale ne bouge pas entre les signaux SDR et HDR. Nous l’avons mesurée, dans les deux cas, aux alentours de 385 cd/m². Il s’agit d’une bonne performance pour un écran OLED de ce type, cela reste néanmoins insuffisant lorsqu’il s’agit de travailler dans un espace bien exposé ou éclairé.

DCI-P3
DCI-P3
Rec. 2020
Rec. 2020

Le ZenScreen est en effet, comme beaucoup d’affichages OLED, un véritable miroir avec son revêtement brillant. Asus préconise d’utiliser la boite dans laquelle il est livré comme d’un support afin d’agir telle une lunette d’écran contre les reflets. Pas très pratique et volumineux… il faudra s’y faire, car l’OLED demande souvent ce genre de compromis.

© Matthieu Legouge pour Clubic
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Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge
Test Asus ZenScreen OLED MQ16AH © Matthieu Legouge

Une fois les reflets mis de côté par un moyen ou un autre, il faut bien dire que la qualité d’affichage de ce ZenScreen OLED est époustouflante. La profondeur des noirs change beaucoup de choses pour travailler sur de la photo ou de la vidéo et à vrai dire, pour tout type d’activité. Exempt de tout blooming, il affiche une image haute en couleur avec un excellent dynamisme et un niveau de détails appréciable. La définition Full HD (1920 × 1080 pixels) sur cette diagonale de 15,6 pouces offre une densité de pixels très intéressante avec 141 ppp.

© Matthieu Legouge pour Clubic
© Matthieu Legouge pour Clubic


Sa réactivité est également un atout ; les temps de réponse très courts de l’OLED font de cet écran un compagnon efficace pour le gaming. En revanche, la fréquence de rafraichissement de la dalle se limite à 60 Hz. S’il ne s’agit pas du meilleur écran de jeu pour un usage compétitif, il offre toutefois des performances suffisantes pour des jeux solos, et surtout avec une qualité d’image qui change la donne.

Asus ZenScreen OLED MQ16AH : l'avis de Clubic

8

Le ZenScreen OLED MQ16AH n’a pas grand-chose à voir avec son homologue muni d’une dalle IPS. La technologie OLED permet en effet à cet écran de profiter d’une image incomparable en matière de couleurs, de profondeur et de dynamisme. À ce titre, il s’agit sans doute de l’un des meilleurs écrans portables du marché, si tant est que vous ayez besoin d’un affichage de ce type dans le cadre d’une activité créative notamment.

En revanche, nous trouvons bien dommage qu’un véritable support ne soit pas fourni avec l’écran. L’étui, souple et magnétique, laisse franchement à désirer dans le cadre d’un usage quotidien, qu’il s’agisse de passer l’écran du mode paysage au mode portrait, et même pour le manipuler et modifier l’inclinaison. Le prix en refroidira plus d’un également pour un écran portable dont le principal concurrent (l’Innocn 15A1F) semble offrir une prestation similaire en matière d’image, avec un prix inférieur.

Les plus

  • Une image OLED de grande qualité
  • Affichage lumineux et dynamique
  • Capteur de présence
  • Compact et léger

Les moins

  • Les reflets, comme souvent avec l'OLED
  • Cover magnétique peu pratique
  • Logiciel nécessaire pour la rotation automatique

Qualité d'image 9

Design et ergonomie 7

Polyvalence 8

Performances 7

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Toutes les mesures réalisées dans le cadre de ce test ont été enregistrées avec le logiciel CalMAN Ultimate, une sonde X-Rite i1 Display Pro Plus et un boîtier de mesure d'Input Lag Leo Bodnar.

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Commentaires (14)

Bondamanmanw
490,83€ c’est pas donné pour un simple écran !
marc6310
Il est portable, solide et OLED c’est quand même un peu différent d’un « simple écran » ?
LaminoirFuego
Vous n’avez pas plein le cul de vanter cette techno ? OLED… IPS est une très très très bonne technologie.<br /> Les couleurs sont aussi excellentes. Profondeur du noir est aussi.<br /> D’ailleurs, OLED toutes les qualités de la technologie oublié - Plasma.<br /> OLED, c’est :<br /> Les images statistiques brûle la matrice, elle bouffe comme un cheval - c’est quoi la consommation d’une TV OLED ?<br /> Nombre d’heure de fonctionnement ?<br /> L’oeil humain n’est pas capable de voir la différence. Si le delta des couleurs est correctement réglé.<br /> P.S: à ceux qui voudront faire le malin, lisez avant répondre.
nemo2023
Vraiment le même noir et la même réactivité les IPS que l’OLED ?<br /> Je parle généralement car oui il y a toujours un écran qui fait mieux que les autres.<br /> Le delta &lt;2 n’est pas atteint par la grande majorité des IPS actuel alors que pour les OLED c’est la grande majorité en dessous.<br /> Par contre oui, IPS c’est un budget moindre.
dFxed
C’est quand même curieux de laisser un commentaire/avis, tout en menaçant ceux qui souhaiteraient vous répondre …<br /> Sur le fond, non la qualité des noirs n’est pas la même, car l’ips est sujette au backlight bleeding.<br /> Et oui, l’ips est une bonne techno, qui a ses avantages, et ses inconvénients. Reconnaître qu’elle n’est pas parfaite ne lui enlève rien.
pocketalex
@dFxed : merci pour votre commentaire, le propos initial était lunaire<br /> non pas que l’IPS c’est « pas bien », par ailleurs pour un écran portable qui sert bien souvent d’appoint je ne suis pas sur qu’une couteuse dalle Oled soit la meilleure idée, mais sauf rétro-éclairage spécifique (local dimming, miniLED) rares et couteux, l’immense majorité est rétro-éclairé sur la totalité de l’écran et rétro-éclairer du noir, ça s’appelle du gris foncé !!<br /> Donc non, l’Oled et l’IPS LED classique ça n’est PAS la même chose, il ne fait pas dire n’importe quoi<br /> Surtout que l’on parle d’un truc qui se voit et se voit très bien … C’est pas comme le « blooming » des écran miniLED dont tout le monde parle mais que l’on ne voit jamais à l’usage, sauf cas ultre spécifiques. Là, il suffit d’un peu de pénombre, et les noirs deviennent gris
pocketalex
Merci à Clubic pour ce test. Je suis en recherche d’un écran d’appoint mais j’ai un cahier des charges qui est quasi-extraterrestre et je n’arrive pas à trouver le modèle qui me conviendra<br /> Déja, j’ai besoin d’au moins 4K dans la dalle et au moins 17’’ dans la diagonale, pour pouvoir afficher des hautes résolutions, quitte à rapprocher l’écran très près pour retrouver, peu ou prou, le confort et l’espace de travail d’un bon 32’’, voire d’un bon 27’’<br /> Ensuite, je rêve d’un moniteur aimanté qui se « poserait » sur un petit pied (pliable) de manière magnétique. J’ai trouvé un modèle qui propose ça, mais encore et toujours avec des specs qui ne me conviennent pas (dalle Full HD, diagonbale de 15’’)<br /> Il y a bien le PQ22C chez Asus, mais 21’’ c’est un peu trop grand et surtout il coute 5000€, ça commence à douiller pour de l’appoint<br /> Mon idéal serait une dalle 4K pliable qui, dépliée, propose au moins 24’’ mais la moitié une fois plié, donc qui rentre dans un sac à dos…<br /> Et là je pourrait taffer confort lors des événements et autres travaux loin de mon bureau, sans devoir dédier une valise à un écran 27’’ classique<br /> J’attends toujours
fg03
Enfin bon des ecrans équivalent moins premium portable comme celui la on en trouve à pour 50 euros. Donc oui mais non merci.
DrCarter95
On dirait une tablette… qui n’a pas les fonction d’une tablette…<br /> L’idéal serait un iPad ou une tablette qu’on pourrait aussi utiliser comme écran.
Wen84
Euh… De un, c’est déjà faisable. De deux, si ça avait été une tablette, le prix aurait été aussi plus cher, car il aurait fallu lui ajouter tout le hardware qui va avec.
LaminoirFuego
Ce n’est pas la même chose. OLeD c’est de la merte avec un écran mirroir.<br /> IPS sur Lenovo 5 Pro dépasse 500nits , elle plie en deux ton écran oooooolaide…
Blackalf
5. Restez courtois<br /> Particulièrement lorsque vous exprimez votre désaccord, critiquez les idées, pas les personnes. Évitez à tout prix les insultes, les attaques et autres jugements sur la forme des messages.<br /> 6. Publiez des messages utiles<br /> Chaque participation a vocation à enrichir la discussion, aussi les partages d’humeurs personnelles ne doivent pas venir gêner le fil des échanges.<br />
pocketalex
zéro arguments si ce n’est « c’est nul / c’est génial, c’est mieux / c’est moins bien » …<br /> Déja je n’ai jamais dit que l’oLED c’était le must. C’est une techno qui a ses avantages (ultra-finesse, léger, solide, très grand angle de vue, temps de réponse, noirs parfaitement noirs) mais aussi certains inconvénients (le prix, marquage, durée de vie, efficacité lumineuse, grosse conso), inconvénients que l’on arrive à palier avec les technos récentes<br /> L’IPS LED, c’est ni mieux ni moins bien (enfin si c’est moins bien, on va en causer), c’est une techno qui a d’autres avantages (cout de fabrication, grandes taille possible, etc)<br /> L’IPS miniLED, lui, est beaucoup mieux car rétro-éclairé par zones, donc parfaitement noir dans les zones noires. Contrairement à l’IPS LED rétro-éclairé sur toute la surface de la dalle, et donc des noirs gris clair. Et ça, indéniablement, c’est « moins bien » et il est difficile de dire le contraire sauf à être de sacré mauvaise foi<br /> Mon Macbook Pro M1Max, par exemple, dispose d’une dalle miniLED, et c’est juste une tuerie (mais il est aussi de très haute qualité : fidélité colorimétrique exceptionnelle, 1600 nits en pic en HDR, etc)<br /> Bref, le graal n’existe pas encore (enfin si : le micro LED, mais il n’existe qu’en laboratoire), l’oLED permet des noirs profonds que ne permet pas l’IPS LED mais que permet le miniLED, mais il consomme plus, mais il permet des écrans plus fins, etc, etc chacun a ses plus et ses moins<br /> Une chose est sure : quand on a gouté aux noirs parfaitement noirs, on ne peut s’empêcher de voir les noirs « gris clair » des écrans IPS LED, et ça …
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