Instagram poursuit son développement sur le Web en rendant finalement accessible le flux depuis n'importe quel navigateur Internet. Le service s'ouvre ainsi à de nombreuses plateformes... du moins partiellement.
Instagram a lancé une visionneuse de photo au mois de juin puis porté les pages de profil sur le Web au mois de novembre, mais elles n'étaient jusqu'à présent que des culs-de-sac. La version Web d'Instagram n'offrait quasi aucune possibilité de navigation.
Elle permet enfin d'afficher son flux sur un navigateur Internet. C'est une réplique quasi conforme de celui des applications iOS et Android, avec les photos des utilisateurs auxquels on est abonné, et la possibilité de consulter mais aussi d'envoyer des « J'aime » et des commentaires, y compris en double-cliquant, comme sur mobile.
La page s'adapte à la largeur de la fenêtre (responsive design), si bien qu'on peut désormais accéder à la plupart des fonctions du service tant d'un ordinateur que d'une plateforme mobile pour laquelle il n'existe pas (encore) d'application, telle que Windows Phone ou BlackBerry.
La publication de photo reste en revanche réservée aux applications natives, et le restera. Kevin Systrom, l'un des co-fondateurs, explique effectivement qu'Instagram doit servir à « photographier à la volée, dans la vraie vie, en temps réel ».
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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