Netgear a aujourd'hui annoncé le renouvellement de ses passerelles multimédias, ses NeoTV mais aussi son Push2TV, rebondissant ainsi sur l'actualité de ces deux segments.
Push2TV PTV3000
Netgear annonce effectivement la nouvelle génération de son récepteur vidéo sans fil, qui apporte la prise en charge du Miracast (du moins de son brouillon), au lendemain de l'annonce des premières certifications, en plus du WiDi d'Intel. Alors que son prédécesseur n'était compatible qu'avec certains ordinateurs portables, le « PTV3000 » pourra recevoir de la vidéo Full HD 1080p et de l'audio 5.1 depuis de nombreux ordinateurs portables, tablettes et smartphones.
Bien qu'il soit plus complet, il est à la fois nettement moins encombrant et deux fois moins cher. Occupant désormais la surface d'une carte de crédit, il serait trois fois plus petit que son prédécesseur. Il est commercialisé dès à présent au prix public de 60 dollars, alors que son prédécesseur avait été lancé à 140.
NeoTV, NeoTV Pro et NeoTV Max
Le segment des passerelles multimédias étant arrivé à maturation depuis quelques temps, la nouvelle génération de NeoTV se contente cette fois d'évolutions mineures, principalement d'ordre ergonomique.
Elle est principalement l'occasion pour Netgear de répondre à Roku, qui vient lui aussi de renouveler sa gamme (réservée au marché américain), en s'alignant sur la répartition et sur les tarifs :
NeoTV Streaming Player (NTV300) : Ethernet, Wi-Fi N à 150 Mbps, services de vidéo à la demande exclusivement pour 50 dollars
NeoTV Pro Streaming Player (NTV300S) : hérite de la prise en charge du WiDi du NTV200S, et Wi-Fi N porté à 300 Mbps, sorties audio et vidéo analogiques, pour 60 dollars
NeoTV Max Streaming Player (NTV300SL) : idem avec la possibilité de lire ses propres contenus depuis un support de stockage USB, une carte microSD ou un serveur DLNA, prise en charge de la 3D et livraison d'une télécommande double face à clavier complet, pour 70 dollars
Les nouveaux NeoTV sont commercialisés dès à présent aux États-Unis mais ils devraient eux aussi traverser rapidement l'Atlantique.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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