Garmin a annoncé mardi ce qu'il présente comme « sa première montre GPS outdoor », la Garmin Fenix, qui s'adresse à tous types de baroudeurs. Pour la première fois, une telle montre ne se destine pas au simple suivi de séances d'exercice mais à la navigation, à l'instar d'un GPS traditionnel.
Popularisées par le modèle de Nike et TomTom, les montres pour sportifs étaient déjà commercialisées par Garmin depuis un moment. Celles-ci exploitent des capteurs, parfois un GPS, pour afficher des informations telles que le rythme ou la distance parcourue. Le numéro un mondial du GPS commercialise également des ordinateurs de bord pour toutes sortes de sports, qui offrent quant à eux des fonctions de navigation.
La montre GPS outdoor Fenix est la première à combiner ces fonctions autour d'un poignet, et ainsi à s'adapter à des pratiques telles que la randonnée ou l'escalade.
En plus des fonctions de suivi de performance des modèles existants, elle offre pour ce faire des fonctions sommaires de navigation, permettant de planifier un itinéraire à l'aide de routes ou de points d'intérêts prédéfinis et d'enregistrement à la volée de points de passage ou de traces, permettant de trouver ou retrouver son chemin. Des connectivités ANT+ et Bluetooth permettent de recevoir ou de transmettre ces données à un ordinateur mais aussi et surtout à un autre équipement compatible, tel que la Fenix d'un coéquipier.
La Fenix offre également d'autres caractéristiques adaptées aux baroudeurs. En plus du GPS elle abrite ainsi un altimètre, un baromètre et un compas électroniques (capteurs ABC). Son boitier serait quant à lui résistant aux chocs et étanche à 50 m et sa lunette en verre minéral anti-rayures. Elle revendique enfin une autonomie de 50 heures en mode GPS.
La Garmin Fenix sera lancée dans le monde entier cet automne, malheureusement trop tard pour les vacances d'été, pour la coquette somme de 400 euros. Le prix d'un tel concentré de technologie ?
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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