Nike et TomTom annoncent aujourd'hui l'élargissement de ce qui constitue désormais une gamme de montres pour coureurs, ainsi que de nouvelles fonctionnalités pour tous les modèles.
Pour concurrencer le numéro un du GPS Garmin, qui disposait déjà d'une large gamme d'appareils destinés aux sportifs, le numéro deux TomTom s'est associé à un grand nom du sport en janvier 2011 pour concevoir la première SportWatch.
Aujourd'hui la joint-venture mise à nouveau sur la tendance du running et sur la notoriété de Nike dans ce domaine pour lancer une nouvelle variante premier prix de sa SportWatch. Techniquement, le nouveau modèle est strictement identique à l'existant, mais il n'est pas livré avec le shoe pod qui permet de compter les foulées en intérieur, mais certains coureurs ne s'entrainent qu'en extérieur et d'autres disposent de chaussures Nike qui l'intègrent. De couleur anthracite et bleu, ce modèle atteint ainsi la barre symbolique des 150 euros.
Lancée à 200 euros, la SportWatch originale est depuis passée à 170 euros. Pour 20 euros de plus, elle est donc livrée avec le shoe pod. Ce petit dispositif, vendu 30 euros séparément, se glisse dans l'emplacement prévu des chaussures Nike ou dans un étui qu'on peut attacher aux lacets des chaussures d'autres marques. Autrefois disponible exclusivement en noir/volt, la Nike+ SportWatch est également déclinée en noir/anthracite et en volt dans certaines boutiques.
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TomTom et Nike profitent enfin de cet élargissement pour annoncer l'arrivée imminente d'une mise à jour majeure du site Nike+, sur lequel les coureurs consultent leur historique et défient d'autres sportifs, ainsi que celle d'une mise à jour du micrologiciel des montres leur permettant de prendre en charge les bandeaux Nike+ FuelBand, permettant quant à lui de calculer l'énergie dépensée.
Les nouveaux modèles seront commercialisés en France à partir de la mi-juin.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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